Département: Oise, Arrondissement: Beauvais, Canton: Grandvilliers - 60
Domus Hospitalis Sommereux
La maison de Gandicourt
Département: Oise, Arrondissement: Senlis, Canton: Neuilly-en-Thelle, Commune: Belle-Église - 60
Domus Hospitalis Gandicourt
Toutefois ils en détachèrent, au XVIe siècle, la maison de Gandicourt, qu'ils ajoutèrent à la commanderie d'Ivry-le-Temple.
Sommereux resta toujours chef-lieu de baillie. Son domaine comprenait une grande et belle maison près de l'église.
Ses dépendances s'étendaient jusqu'à la rue Boueuse, avec plus de 300 journaux de terre arable sur le chemin de Grandvilliers, et 288 journaux de bois, près de la ferme de Marendeuil.
Au temps des Templiers, la commanderie ne possédait qu'une partie de la seigneurie. Les Hospitaliers en achetèrent le surplus en 1448, avec le fief de Graville, d'une noble dame, Guillemette de Graville, épouse de Jean de Maintrelle, chevalier, seigneur de Salles en Poitou, pour le prix de 724 livres, payé en 600 écus d'or, chaque écu de la valeur de 24 sols.
A partir de cette époque, le commandeur de Sommereux devint seul seigneur haut-justicier et gros décimateur du village dont il avait le patronage et la collation de la cure, comme nous le voyons d'après la visite prieurale de 1495 : « Le villaige de Sommereux peult estre de LXXX à C feuz, tous hommes de la commanderie, a tout jurisdicion et justice levée, où a esglise parrochiale, fondée de Saint-Aubin, servie par ung frère de l'Ordre .... La maison de la Commanderie, près de ladite église, est un grant ediffice ancien et en ruyne, et n'y a habitation nulle à présent pour la demeure du commandeur. »
Cette maison qui avait été en partie détruite par les ravages de la guerre, fut reconstruite au XVIIe siècle avec une certaine élégance. C'était devenu un petit château qui servait de résidence au Commandeur.
Le fief de Graville, qui avait été réuni à la commanderie, relevait de la châtellenie de Conty. Ce fief consistait en une maison, située dans la grande rue de Sommereux, et en une trentaine de journaux de terre. En 1512, il était tenu en coterie par Adrienne Cosette, fille de Jean Cosette, écuyer.
Plusieurs arrière-fiefs à Sommereux mouvaient du fief de Graville :
Le fief du Passage, derrière l'église.
Le fief du Bourg, au chemin de Beauvais.
Le fief de Lommelet, tenant au précédent.
Le fief de Polhoy, près du Flot-Watier.
Et le fief de la Rouge-Montagne, au chemin de Marendeuil.
La terre et seigneurie d'Argœuves, près d'Amiens, relevait également du fief de Graville.
Elle appartenait, en 1456, à Messire Jacques de Rambures, chevalier, seigneur de Dompierre et d'Argœuves.
Le revenu de la maison de Sommereux était :
En 1757, de 8,900 livres.
Il n'était, en 1373, que de 240 livres parisis.
La maison de Marendeuil
Département: Oise, Arrondissement: Beauvais, Canton: Grandvilliers - 60
Domus Hospitalis Marendeuil
Voici comment s'exprime le rapport de la visite prieurale de 1495 sur Marendeuil : « En la paroisse de Sommereux, a une ferme, nommée Marendueil, où a C ou Vixx journeux de terre, où a une petite maison et grange pour le fermier et ccccc journeux de boys de tail qui a esté mal entretenu. Par le temps passé, souloit ledit boys valoir de xxxv à xl livres, et maintenant n'en vault que m livres. »
Dans les cinq cents journaux de bois, était compris sans doute le bois de Sommereux dont nous avons parlé.
Au siècle dernier, Marendeuil était toujours une dépendance de Sommereux. Cette ferme comptait 140 journaux de terre cultivable.
Elle était affermée:
En 1757, 1,100 livres.
Et en 1783, 1,850 livres.
La maison de Broquiers
Département: Oise, Arrondissement: Beauvais, Canton: Grandvilliers - 60
Domus Hospitalis Broquiers
Ce domaine était affermé:
En 1757, 950 livres.
Et en 1783, 1,400 livres.
La maison de Saint-Pantaléon
Département: Oise, Arrondissement et Canton: Beauvais - 60
Domus Hospitalis Saint-Pantaléon
Le rapide accroissement que l'établissement des Templiers avait pris à Beauvais, la grande influence qu'ils exerçaient dans la ville, portèrent bientôt ombrage aux évêques. Des conflits ne tardèrent pas à s'élever entre eux, à propos de droits de justice et de seigneurie que l'évêché prétendait avoir sur leurs maisons. Les mêmes difficultés se renouvelèrent plus tard avec les Hospitaliers, lorsque ceux-ci remplacèrent les Templiers à Beauvais.
En 1375, l'évêque Milon leur déniait tout droit de justice sur des maisons comprises dans leur censive, près de l'église de Saint-Barthélemy. IL leur contestait également le droit de propriété d'une place qu'ils avaient devant leur église. Enfin il réclamait d'eux un droit de forage sur les vins provenant de leurs vignes, et qu'ils vendaient dans la maison de Saint-Pantaléon.
L'intervention du Roi fut nécessaire pour mettre fin à des querelles sans cesse renaissantes; et par ses lettres du 9 février 1376, Charles V débouta l'évêque de Beauvais de toutes ses prétentions, et affranchit l'Hôpital des charges qu'on voulait lui imposer.
Vers la même époque, les Hospitaliers donnèrent à cens et à rente perpétuelle la plupart des maisons qu'ils possédaient à Beauvais. Leur nombre était considérable.
Ils en comptaient dix-sept dans la rue Saint-Pantaléon, qui était de la paroisse de Notre-Dame de la Basse-Œuvre ; six autres dans la paroisse de Saint-Sauveur, parmi lesquelles la maison de Saint-Avoye.
Dans la grande rue Saint-Sauveur, près de la porte du Chatel, la maison des Troys-Mores ; dans la même rue, près de la Boucherie, la maison de Saint-Jacques.
Dans la rue de la Taillerie, l'Hôtel des Quatre-Vents, et une maison au coin du Marché.
Sur le Marché, devant la Fromenterie, deux maisons tenant à l'Hôtel de l'Ecrevisse, et la maison du Croissant, tenant à l'Hôtel du Paon.
Dans la ruelle de Merdenchon, derrière Saint-Pantaléon, une masure avec deux jardins.
Au coin de Saint-Sauveur, la maison de la Pie.
Près du Pont-Saint-Sauveur, une maison et deux jardins : l'un, rue du Poivre-Boully, et l'autre, devant le Pont de Garence.
Dans la paroisse de Saint-Etienne, grande rue Saint-Jean, la maison du Roi-Pépin, tenant à la ruelle qui menait au Logis Saint-Christophe.
Une maison tenant à l'hôtel des Corbletz.
Une autre sous Saint-Michel.
Dans la même rue, la maison du Cazeret, une autre maison près la porte ; dans la rue du Celier-Saint-Ladre, une maison ; près le Pont-Pinart.
Deux maisons près de la forteresse, entre le Mollin-Allard et le Mollin-du-Ratel.
Deux maisons rue du Mollin-Allard.
La maison des Quatre-Fils-Emond.
Dans la paroisse de Saint-Thomas, l'hôtel du presbytère, tenant à l'église de St-Thomas.
Dans la paroisse de Saint-Laurent, près la porte de Bresle, tenant à la forteresse, six maisons; dans la rue du Pont-Godart, devant le Pont-Papillon, une maison dans la paroisse de Saint-Martin et de Saint-Hippolyte, rues du Crocq, Saint-Martin et des Cynciers, quatre maisons.
Hors la porte du Lymecon au Pont de Pierres un pré.
Devant la place où soulloit estre Saint-Hyppolite, un jardin.
Dans la paroisse de Saint-André, rue des Jacobins, une maison.
Dans la paroisse de la Magdeleine, rue des Frères-Mineurs, une maison.
Dans la paroisse de Saint-Gilles, en la grande rue Saint-Gilles, devant la porte du Fresne, trois jardins.
Les cens et arrentements de ces maisons et jardins rapportaient, à la fin du XIVe siècle, 60 livres par an.
Les Hospitaliers n'avaient conservé de leur domaine ou plutôt de celui du Temple, que l'hôtel de la Commanderie et leur église, où l'on disait trois messes par semaine et les vêpres le samedi. Cette église était remarquable par les beaux reliquaires qui s'y trouvaient. Les reliques de Saint-Pantaléon y reposaient dans une châsse d'argent, ainsi qu'un bras de saint Marc.
Cette maison était occupée, au siècle dernier, par le receveur de la commanderie de Sommereux, qui l'avait pour ses gages. Le revenu de la maison de Saint-Pantaléon était:
En 1373, de 76 livres.
Et en 1783, de 280 livres.
La maison de Morlaine
Département: Oise, Arrondissement et Canton: Beauvais - 60
Domus Hospitalis Morlaine
Il y avait une chapelle dans la cour de la ferme, dont dépendaient, en 1373, deux charrues de terre affermées avec un moulin et onze journaux de pré, au prix de douze muids de blé, douze muids d'avoine et quatre mines de pois par an, à la mesure de Clermont.
Le Commandeur avait toute justice et seigneurie, droits de cens, rentes et dîmes à Morlaine et aux environs.
Le fermier était obligé, en outre, de faire dire une messe tous les dimanches dans la chapelle, pour laquelle il donnait 30 livres aux capucins de Beauvais. Au siècle dernier, les terres du domaine étaient d'environ 200 arpents.
Elles étaient louées, avec la ferme et l'hôtel de Saint-Pantaléon, à Beauvais:
En 1757, 3,000 livres.
Et en 1783, 5,380 livres.
La maison de Neuilly
Département: Oise, Arrondissement et Canton: Clermont - 60
Domus Hospitalis Neuilly
Le Temple de Neuilly était situé dans la grande rue du village. Il se composait d'un assez grand édifice qui fut incendié vers 1370 par les Anglais qui, alors, occupaient le pays. Vers la fin du XVe siècle, le commandeur Jean Perrin, en fit démolir une partie qui menaçait ruines, et répara le reste des bâtiments qui comptait encore dix grandes chambres.
Il n'est pas probable que ce fut-là la dernière reconstruction de cette maison, car nous lisons dans un précis historique et statistique du canton dé Mouy (Oise), sous l'article de Neuilly-sous-Clermont en 1835 : Les chevaliers de Malte, et avant eux les Templiers avaient des propriétés à Neuilly. Leur maison bâtie en 1645, est encore debout ; c'est une construction solide à fenêtres divisées par des meneaux, à façade décorée de pilastres, à mansardes chargées d'ornements. La chapelle qui subsiste est beaucoup plus ancienne. Elle appartient à l'époque du style ogival à rosaces.
Le Commandeur avait toute justice et seigneurie dans son domaine de Neuilly qui comprenait, au siècle dernier, 110 arpents de terre à labour dans la vallée ; 36 arpents de riez sur la montagne; un bois de 20 arpents, appelé le bois de la Commanderie, tenant au chemin des Vaches, et 23 arpents de prairie, nommés le Pré-Pargot et le Prédes-Rozelets.
Un fief, nommé le fief des Cinq-Cheminées, relevait de la maison de Neuilly. C'était une maison située dans la grande rue, et quelques vignes aux lieux dits le Gué du Val et le Triage des Hullins. Ce fier appartenait, en 1600, à un sieur Nicolas Bouffel.
Le revenu de la maison de Neuilly était:
En 1783, de 2,500 livres.
Il n'était, en 1757, que de 1,160 livres.
Et en 1495, de 93 livres, à cause des guerres qui avaient ruiné le pays.
La maison de Clermont
Département: Oise, Arrondissement et Canton: Clermont - 60
Domus Hospitalis Clermont
Ce que les Hospitaliers avaient à Clermont, provenant de l'Ordre du Temple, était donc réduit à fort peu de chose à latin du XVe siècle.
Mais ils possédaient de leur cité d'autres revenus plus importants, tant dans cette ville que dans d'autres localités circonvoisines. Raoul, comte de Clermont, leur avait gratuitement abandonné, en 1169, un droit d'annate qui lui appartenait sur les prébendes de l'église de Saint-Arnout de Clermont et de celles de Saint-Evremont de Creil et de Notre-Dame de Mouchy-le-Chatel. Cette donation est rappelée en 1600, dans les registres du chapitre de l'église collégiale de Notre-Dame de Clermont. Au siècle dernier, le commandeur de Sommereux et de Neuilly recevait chaque année, de l'église de Clermont, pour lui tenir lieu de ce droit d'annat, 90 mines de grains, deux tiers en blé, et un tiers en avoine. Mais les églises de Creil et de Mouchy ne payaient plus rien.
La maison d'Esquennoy
Département: Oise, Arrondissement: Clermont, Canton: Breteuil - 60
Domus Hospitalis Esquennoy
L'amortissement de la terre d'Esquennoy fut accordé l'année suivante (1212) aux Templiers, par Eléonore, comtesse de Saint-Quentin et, dame de Valois.
Quelque temps après, Amice, dame de Breteuil, voulut aussi leur donner des preuves de sa bienfaisance, en leur accordant en 1222, son bois d'Halincourt, près d'Esquennoy, « boscum meum de Halencort juxta Cheyneez », avec toute la justice et seigneurie. Il est dit dans l'acte que les Templiers pourraient le défricher et le cultiver, sans préjudice toutefois au droit d'usage qu'y avaient les religieuses de Bellefont, « de Bello fonte. »
Par une autre charte datée de là même année, Amicie les dispensa, eux et leurs hommes d'Esquennoy, de venir moudre leurs grains, si ce n'était de leur bonne volonté, aux moulins de Breteuil.
Les Templiers firent ensuite des acquisitions qui augmentèrent leur domaine. Ils achetèrent, en 1235, d'un seigneur du pays, Eustache de Bacouël, de Bascowel, chevalier, vingt journaux de terre à Esquennoy, « apud les Kesnoi », au prix de 60 livres.
De 1250 à 1258, ils acquirent encore de diverses personnes des terres sur le même territoire, aux lieux dits la Vallée de Saint-Pierre, le Formanoir, « in Forte manerio », touchant à l'église de Saint-Pierre, etc.
Les Hospitaliers, en possession du Temple d'Esquennoy, le conservèrent à l'état de commanderie jusqu'au XVIe siècle, où après les ravages que la guerre lui fit éprouver, cette maison fut réunie à la commanderie de Sommereux.
Le Temple d'Esquennoy était situé dans la grande rue. Il y avait auprès une chapelle, fondée de Saint-Jean-du-Temple, chargée de trois messes par semaine.
Le Commandeur était seul seigneur d'Esquennoy. Il avait toute juridiction sur ses habitants qui étaient, d'après le Livre-Vert, au nombre de quarante en 1373.
Les terres du domaine comprenaient, au siècle dernier, 360 journaux, dont une partie était située sur Blancfossé, Bonneuil et Flers. Il y avait, en outre, 143 arpents de bois taillis. Il appartenait à la commanderie un droit de dîme au terroir de Maisoncelle, au lieu-dit le Bois-Gayant.
Le revenu d'Esquennoy atteignait à peine 200 livres après les guerres du XVe siècle.
En 1757, il était de 4,000 livres.
Et en 1783, de 6,000 livres.
La maison de Breteuil
Département: Oise, Arrondissement: Clermont, Canton: Breteuil - 60
Domus Hospitalis Breteuil
Plus tard, les Hospitaliers firent un fief de cette maison, que Robert de Thoizy, chanoine de Beauvais, tenait en 1548 de la seigneurie d'Esquennoy, et pour lequel celui-ci payait chaque année, à la commanderie, 20 sols parisis.
La maison de La Druelle
Département: Somme, Arrondissement: Montdidier, Canton: Moreuil, Commune: Louvrechy - 80
Domus Hospitalis Druelle
Le principal revenu du Temple de la Druelle, au commencement du XIIIe siècle, consistait en une rente de vingt muids de blé, qu'un seigneur des environs, Bernard de Moreuil, « de Morolio », avait constituée au profit des chevaliers du Temple, à prendre chaque année sur le moulin Herbert, « in molendino Herberti », ainsi qu'il résulte des lettres du seigneur de Moreuil, de l'année 1203, confirmées en 1208 par Richard, évêque d'Amiens.
Un autre seigneur, Pierre de Jumelle, donna, en 1245, aux Templiers de la Druelle, une vigne de onze journaux sur le territoire de Jumel, « in territorio de Jumellis », en dehors du village, touchant à Oremeaux, « juxta Ulmum. » Il leur accorda, l'année suivante, la dîme de Jumel, et leur céda, en 1249, un terrain pour bâtir une grange, afin d'y renfermer le produit de cette dîme.
D'après le Livre-Vert, les terres de la Druelle, au moment où les Hospitaliers les recueillirent de l'Ordre du Temple, comprenaient 250 journaux, situés en la Couture-l'Abbé, vers le bois de Cheroumont et autres lieux. Chaque journal rapportait, en moyenne, un setier et demie de grains, moitié blé, moitié avoine, à la mesure de Montdidier.
Outre la dîme de Jumel, la commanderie possédait celles de Sourdon, de Moreuil et d'Ailly-sur-Noye, ainsi que des cens et rentes foncières à Chirmont, à Flers à Arondel, sur les moulins du seigneur de Chaussoy, etc.
Le Commandeur avait toute justice, haute, moyenne et basse dans sa terre de la Druelle ; et la chapelle de cette maison était, comme celle d'Esquennoy, exempte de toute juridiction épiscopale.
La Druelle, avant de devenir un membre de la commanderie de Sommereux, avait déjà appartenu, en 1460, à celle d'Esquennoy.
Le revenu de la Druelle, qui n'était que de 83 livres en 1373.
En 1757, à 1,700 livres.
Et en 1783, à 3,500 livres.
La maison de Hainneville
Département: Somme, Arrondissement: Montdidier, Canton: Moreuil, Commune: Chaussoy-Epagny - 80
Domus Hospitalis Hainneville
« Auprès dudit lieu de la Druelle, souloit avoir ung hospital, nommé Heinoville, et y souloit avoir maison comme appert par les ruynes, où la commanderie prent de cens V à VI livres, et VI à VII septiers d'avoine » (Visite de 1495.)
Une mine contenait 60 verges, la verge 23 pieds 1/2, et le pied 11 pouces.
La maison d'Hainneville n'existait plus, comme on le voit, à la fin du XVe siècle ; et ses revenus avaient été réunis à la maison de la Druelle.
Le revenu général de la commanderie de Sommereux, qui était :
En 1373, de 474 livres parisis, était descendu par suite des guerres.
En 1495, à 366 livres. Il était remonté:
En 1580, à cause des annexions, à 5,400 livres.
En 1653, à 8,000 livres.
En 1708, à 10,000 livres.
En 1757, à 21,385 livres.
Et en 1783, à 42,951 livres.
Commandeurs de Sommeureux
1360. Frère Jehan de Hétangis.
1363. Fr. Lancelot du Poule.
1373. Fr. Jehan Fleury.
1386. Fr. Guy Dannores.
1409. Fr. Jehan Guyon.
1422. Fr. Noel Lantequin.
1448. Fr. Jehan Perrin.
1495. Fr. Antoine d'Alencourt, prieur de l'église de Rhodes.
1507. Le chevalier Louis de Terasine.
1512. Le chev. Michel d'Argillemont.
1534. Le chev. Robert d'Ache.
1542. Le chev. Charles de Hangest.
1561. Le chev. Antoine de Challemaison.
1564. Le chev. Jean de Condé.
1576. Le chev. Jacques d'Arquembourg, Grand-Hospitalier.
1578. Le chev. Jehan de Gaillarbois.
1588. Fr. Claude Cornu.
1606. Le chev. Jacques de Gaillarbois.
1642. Le chev. Francois de Bcrthaucourt.
1675. Le chev. Gilbert de Vieubourg.
1699. Le chev. Jean de Fresnoy.
1714. Le chev. Jean-Jacques de Mesmes.
1742. Le chev. Pierre-Alexandre Dubois de Givry.
1751. Le chev. Louis-Gabriel de Froulay.
1783. Le prince Camille de Rohan.
Commandeurs d'Esquennoy
1355. Fr. Jehan de Verrines.
1389. Fr. Pierre Pennet.
1396. Fr. Jehan Cacheleu.
1409. Fr. Gauthier le Cras.
1425. Fr. Pierre Lamant.
1457. Fr. Jehan Noel.
1468. Fr. Gilles de Franqueville.
Commandeurs de La Druelle
1380. Fr. Bauduin Blondel.
1390. Fr. Nicole Malingre.
1408. Fr. Guy Marcoul.
1430. Fr. Antoine du Hem.
1458. Fr. Jehan de Fay.
1468. Fr. Gilles de Franqueville.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)