Hospitaliers   Commanderies   Hospitaliers

Commanderies de l’Ordre de Malte
Informations
Chers visiteurs
Vous avez certainement constaté le point d’interrogation dans la barre d’adresse de votre navigateur.

Il y est écrit « Non sécurisé »

Vous pouvez naviguer sur le site sans aucune crainte. La sécurisation d’un site Internet est obligatoire dès lors qu’il y a des demandes de mots de passes ou des paiements en ligne.

Sur ce site il n’y a rien de tout ceci.

Retour

Le Palais
Département: Haute-Vienne, Arrondissement et Canton: Limoges, Commune: Le Palais-sur-Vienne - 87

Domus Hospitalis Le Palais
Domus Hospitalis Le Palais

La commanderie de Limoges s'appelait aussi la commanderie du Palais, et son chef-lieu était le bourg de ce nom, qui est situé sur la Vienne, à quelques kilomètres en amont de l'ancienne capitale du Limousin. L'ordre de Malte possédait là une église paroissiale, qui était placée sous le vocable de la décollation de saint Jean-Baptiste et de laquelle dépendait, en 1615, le bourg du Palais et les villages du Puy-Molinier, de la Maison-Rouge, de la Despesse, du Bournazeau, de Bartenat, de Chastans, de Quyernaud, de Gergnoulx, du Moulin-Rondet, etc.
L'édifice était complètement voûté ; il mesurait douze cannes sur trois et demie, et dans les vitraux qui garnissaient les deux fenêtres du chœur, on voyait les armoiries du sieur Puy-Molinier, dont l'écu était chargé d'une barre et de trois étoiles.

Le curé était logé, il avait la jouissance de plusieurs terres, les dîmes du blé et du vin sur le village de Puy-Nègre, et la moitié de celles du village de Quyernaud.
Les dîmes des autres parties de la paroisse étaient levées au profit du commandeur, qui les partageait, dans quelques cantons, avec le sieur du Mazeau et avec le prieur de Rilhac. Elles produisaient environ quatre-vingts setiers de seigle et trois barriques de vin.
« La maison d'habitation estoit un beau et grand pavillon. » Le commandeur possédait, sur la Vienne, un pré de dix journaux, appelé la prade du Palais, et un bois de trois stérées.

Il percevait des rentes sur les paroisses du Palais, de Panazol, de Saint-Just, de Beaune et de « Soubrengz », sur « la ville de Lymoges, aux rues du Clocher, du Temple, du Verdurier, de l'Arbre-Pin, de l'Arbre-de-Beauvois et de Sainte-Vallerie..., et sur des vignes et jardins près de ladite ville de Lymoges, aux clos de Bussilnen et Lancelot, et sur le bourg de Saint-Augustin...., pour raison desquelles censés et rentes ledit sieur commandeur a tous droietz de retenue et prelation, avec prouffitz et honneurs des lodz et ventes à raison du sixiesme denier. »
Le tout produisait soixante-cinq setiers de froment, cent dix-neuf setiers de seigle, quatre-vingt-dix esminaux d'avoine, trente-six livres et vingt-cinq gélines.

Le Palais

Domus Hospitalis Le Palais
Sources : Régis Dupuis

Eglise construite au cours de la 2e moitié du 13e siècle ou au début du 14e siècle sur le site d'une église plus ancienne qui, au 12e siècle, dépendait des Frères réguliers de Saint-Gérald de Limoges. Puis elle passa dans les possessions de l'ordre du Temple jusqu'à sa suppression et fut gardée dans les biens des chevaliers de Malte jusqu'à la Révolution. Cet édifice a été restauré à différentes reprises au cours du 19e siècle. Un dessin de Louis Guibert, daté 1858, montre l'état du clocher-mur avant son couronnement par un fronton triangulaire. BNF

Breuilaufa ou Breuil au Fa
Département: Haute-Vienne, Arrondissement: Bellac, Conton: Ambazac - 87

Domus Hospitalis Breuilaufa
Domus Hospitalis Breuilaufa

Breuilaufa est aujourd'hui une petite commune de l'arrondissement de Bellac, qui était jadis du ressort de la sénéchaussée de Mortemart et où l'ordre de Malte possédait une église paroissiale, dédiée à saint Jean-Baptiste, « laquelle n'estoit paroisse que pour le seul villaige de Brelioufa » ; un « château ou maison forte » pour l'habitation des commandeurs ; des terres ; un moulin banal ; des dîmes, des rentes féodales et des droits de juridiction.

L'église était vaste et la disposition du chœur semblait indiquer qu'elle avait été construite pour un collège de prêtres. On y voyait « ung beau reliquaire de cuivre esmaillé fait en forme de coffre, » deux chandeliers également émaillés et un devant d'autel « de cuir doré, où est l'image du crucifix au milieu. » Le saint sacrement reposait dans une petite custode de cuivre émaillée, « eslevée en hault avec une corde, à l'antique, soubz un pavillon de camelot rouge. »
Cette église était desservie par un prêtre séculier, qui était logé et qui jouissait de terres et de vignes et prenait les dîmes au village de Virât, dans la paroisse de Berneuil, moyennant quoi il était tenu d'entretenir un clerc. Ces dîmes produisaient d'ordinaire six setiers de froment et vingt setiers de seigle. Le luminaire était fourni par les confrères de la décollation de saint Jean-Baptiste.

Le commandeur de Limoges résidait d'ordinaire à Breuilaufa. « Le chasteau de la commanderie estoit joignant leglise et formoit un quarré où il y avoit deux basses-cours entourées de murailles. » Je donnerai plus loin le texte d'une enquête relative à l'occupation de ce château, en 1587, par des soldats protestants (1).
Sur le Vincou, était un moulin banal appelé le moulin du Pont, auquel les habitants de Breuilaufa étaient tenus d'aller moudre leurs grains. Ce moulin produisait vingt setiers de seigle, mesure du lieu, « quatre boisseaux faisant le sestier. » Un autre moulin, situé dans le bourg, était tenu par noble Gaspard Papon, sieur de la Brujade, moyennant une rente de neuf setiers de seigle, de deux setiers de froment et de dix sols. Un troisième, appelé le moulin de Doure, tombait eu ruine.
Les domaines comprenaient : un pré de vingt « journaulx d'hommes à faucher, » situé au-dessous du bourg; le bois de la Varougne, de trente stérées ; le bois Bossyé, de dix stérées, et le bois Gibeau, de quinze stérées.
1. Pièces justificatives, n° VII.

Le commandeur levait, sur les paroisses et villages de Breuilaufa, de Berneuil, de Vaulry, de Chamboret, de Nantiat, de Virât, etc., des rentes produisant cinquante-quatre setiers de froment, deux cent quarante-quatre setiers de seigle, quatre cents quartes d'avoine, soixante livres et soixante-dix poules.
Les dîmes lui rapportaient cent trente setiers de grains.

« Et oultre ce, disoient les habitants avoir ledit sieur commandeur certains droitz de prémices en sa terre, scavoir pour chasque estable où il y a des veaux, quatre deniers pour teste, et des velles, deux deniers pour teste, et pour chasque estable de pourceaux, quatre deniers. »
Le commandeur jouissait encore de la haute, de la moyenne et de la basse justice. Sa juridiction était limitée par la châtellenie de Bellac, la baronnie de Mortemart, la baronnie de Lieux et la seigneurie de Fraisse, et, dans l'étendue de cette juridiction, se trouvait un fief noble relevant de lui. Ce fief, appelé le Chastaing, était tenu, en 1615, par les héritiers de feu Isaac Marraud, sieur du Mont.

Breuilaufa
Breuilaufa (Taillis aux Fées) était une sous-commanderie appartenant aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. En 1248, c'était un membre de la commanderie du Palais de Limoges. A la fin du 18e siècle, la cure était dans l'ancien archiprêtré de Saint-Junien. Les Hospitaliers utilisèrent probablement les murs d'une église romane pour édifier, au milieu du 13e siècle, le monument actuel. La date de 1658 gravée sur la porte ouest doit indiquer une réfection de la façade. Le plan est rectangulaire, à nef unique de deux travées, avec chevet plat. La nef a commencé à être voûtée d'ogives au 13e siècle. La voûte du chœur date de la même époque. La façade ouest présente un clocher-mur pignon. Le seul décor réside dans le portail occidental du 13e siècle, à deux voussures limousines et à frise chapiteau. A l'intérieur, l'arc triomphal repose sur des colonnes aux chapiteaux ornés de crochets et de palmettes. Le profil des tailloirs indique le 13e siècle. Les chapiteaux de l'entrée du chœur sont également ornés. BNF

La Bustiere
Département: Haute-Vienne, Arrondissement et Canton: Bellac, Commune: Droux - 87

Domus Hospitalis Bustiere
Domus Hospitalis Bustiere

La Bussière était une annexe de Breuilaufa. Elle était située à égale distance du Dorât et de Bellac, et fait aujourd'hui partie de la commune de Droux. Elle consistait en a une chapelle dédiée sous le vocable de saint Georges, et en censives et rentes féodales et directe, et rien d'autre. « Si bien autrefois y souloit avoir une belle mestairie et ung moulin, qui a esté albergé et emphiteosé il y ajlongues années (en 1615), n'ayant le sieur commandeur, pour ce regard, aulcungs tiltres. »

La chapelle était un oratoire de dévotion dépendant de la paroisse de Mounismes. Une de ses cloches avait été emportée au Dorât par les soldats de la garnison au temps des guerres. Le curé de Mounismes y célébrait la messe une fois par semaine en retour d'une pension annuelle de vingt livres. Les bâtiments de la commanderie étaient contigus et formaient avec elle un vaste carré.

Le commandeur levait, sur le lieu de la Bussière et sur différents villages du voisinage, trente setiers de froment, quatre-vingt-un setiers de seigle, quatre livres seize sols et seize poules, et, en outre, sur le moulin de la Roche, qui était assis sur la Gartempe, cinq setiers de seigle et cinq sols. La justice appartenait au roi.

Conore
Département: Haute-Vienne, Arrondissement et Canton: Limoges, Commune: Peyrilhac - 87

Domus Hospitalis Conore
Domus Hospitalis Conore

Conore, village important de la commune de Peyrilhac, est situé sur la limite des arrondissements de Limoges et de Bellac. Il possédait une petite église paroissiale, qui était desservie par un curé dont la pension congrue était fixée à vingt-deux setiers de seigle. La cure avait été construite, vers 1600, « sur des vieilles ruynes ou masures d'une maison appelée l'Abbaye de la commanderie, qui paroissoient encore » en 1615. « Entour de ladite maison, y avoit un beau grand jardin et deux terres. » Les autres biens de ce membre étaient un pré de quatre journaux, appelé le pré de l'Abbaye, un étang et un moulin banal auquel les habitants au bourg de Conore et ceux du village des Vergnes étaient tenus de venir moudre leurs grains.

Des rentes levées sur ces deux lieux et sur les villages de l'Age, de Vaugouloux et de Pisègre produisaient soixante setiers de seigle, quatre-vingt-dix quartes d'avoine, dix-sept poules et sept livres. Les dimes des blés rapportaient soixante setiers de seigle auxquels il faut ajouter quelques livres pour celles des agneaux, du lin et du chanvre. Le baron de Nieul prélevait sur ces produits vingt-six quartes d'avoine et treize sols.

Saint-Junien
Département: Haute-Vienne, Arrondissement: Rochechouart, Canton: Saint-Junien - 87

Domus Hospitalis Saint-Junien
Domus Hospitalis Saint-Junien

Cette annexe de la commanderie de Limoges consistait en un moulin banal, appelé le moulin Coudais, et en rentes féodales ; « et ny avoir aulcune esglise ny chappelle, ny apparance d'y en avoir heu autres-fois, sinon du temps des Templiers, d'aultant que ladite annexe s'appelle le Temple-de-Saint-Jean. »
Le moulin était situé sur la Gorre et les habitants des villages de la Garinerie et de Montazeau étaient tenus d'y moudre leurs grains. Il rapportait deux setiers de froment et vingt setiers de seigle.
Des rentes étaient assises sur différents fonds de la ville de Saint-Junien et des paroisses de Chaillac [-sur-Vienne], de Biennac (commune de Rochechouart), de Saint-Cyr, de Cognac, d'Oradour, de Saint-Auvent, de Saint-Brice [-sur-Vienne] et de Saint-Victurnien.
En 1614, cette annexe avait été affermée deux cent cinquante livres.

Saint-Victurnien
Département: Haute-Vienne, Arrondissement: Rochechouart, Canton: Saint-Victurnien - 87

Domus Hospitalis Saint-Victurnien
Domus Hospitalis Saint-Victurnien

Près du village de Saint-Victurnien il y a un hameau le Temple.

Puybonnieux
Département: Haute-Vienne, Arrondissement: Limoges, Canton: Pageas - 87

Domus Hospitalis Puybonnieux
Domus Hospitalis Puybonnieux

Puybonnieux est situé dans la commune de Pageas. Ce membre de la commanderie de Limoges consistait en « une chapelle dans le chasteau dudit Puy-Bonnyeu, et en une esglise paroissialle de Chenabières, desdiées l'une et l'aultre soubz le tiltre de sainct Jean-Baptiste ; en ung chasteau assis audit lieu de Puy-Bonnieu pour l'habitation des commandeurs ; en quelques domaines, terres, prés, bois d'haulte fustaye proche ledit membre ; en dixmes, cens rentes feodales.... et en une petite annexe appellée de [St-] Martinet, où il y a eglise paroissialle deppendant de ladite commanderie... Et audit membre y a deux moullins et quatre estangs et quatre ou cinq gardoirs et pescheries, l'ung desquelz moulins est audit St-Martinet. »

La chapelle Puybonnieux était comprise dans l'enceinte du château. C'était un simple oratoire de dévotion à l'usage du commandeur et des gens de sa maison. Le curé de Chennevières y célébrait la messe une fois par semaine. Le château de la commanderie faisait « un quarré avec ladite chapelle, une petite cour au milieu entournée de bastiments des deux costez, un puys au milieu, une tour carrée par le dehors. »
On y entrait « par un portal de pierre de taille rond, au-dessus duquel y avait cinq meurtrières et barbacanes. »

L'église de Chennevières (commune de Pageas) avait dix cannes de long et trois de large. Elle avait été « voultée autresfois, ayant esté bruslée par ceux de la religion au temps des guerres. » Le curé était tenu d'y célébrer la messe les dimanches et fêtes de commandement. Le commandeur lui abandonnait les dîmes du bourg de Chennevières « entièrement, qui se prennent de tous grains, legumes, lainages, chanvres, lins, à l'unziesme cotte, qui peut valloir communément vingt sestiers de grains, mesure de Chalus, les deux et demy faisans la charge. » Il était logé et jouissait de divers fonds.

Les habitants se plaignaient des comtes des Cars, qui les voulait contraindre de faire ou de paver le guet de leur château, ce à quoi ils n'avaient jamais été tenus, « ayant au contraire jouy de l'exemption accordée au sujets de l'ordre. »

Un moulin banal, appelé le moulin du Temple, était situé sur la rivière de Gorre. Les habitants du bourg de Chennevières et des villages de Puybonnieux de Sainte-Catherine, des Fossés, de la Jourdaigne, de la Rivière, de Curmont, de Groulier, de Masardi, de Dompney, de la Peytavigne et du Verdier étaient tenus d'y moudre leurs grains ; il rapportait soixante setiers de seigle.

Parmi les biens du membre de Puybonnieux, il convient de mentionner les forêts de haute futaie appelées la Pluie, le Bois-Gros et la grande forêt de la commanderie, qui étaient considérables ; « auxquels bois les habitants dudit village de Puybonnieu ont droit d'usage pour y mener paitre leurs pourceaux, lors de la saison de la glande ; et lors que le vent pu orage abbat quelques arbres, il est permis ausdits habitants, à celuy qui premier peult prendre et marquer ledit arbre, d'en emporter le bois, sans que pour tel droit et usaige ils soient tenus d'en payer aulcune chose. »

Le commandeur jouissait de toutes les dîmes de Puybonnieux et de la Jourdaigne, et de la moitié de celles de Sainte-Catherine et de la Peytavigne. Ces dîmes produisaient cinquante setiers de seigle. Celles de Saint-Martinet (commune de Meilhac) lui en rapportaient soixante, et il en tirait encore cinquante-deux d'une partie de celles de Champsac et de Sereilhac.

Il levait des rentes sur les villes d'Aixe et de Chalus, sur les bourgs de Chennevières, de Champsac et de Saint-Martin, et sur les villages de Puybonnieux, Jourdaigne, Estivarailhas, la Rivière, les Fossés, Bonnaigue, la Gascherie, paroisse de Pageas ; de Salnte-Catnerine, la Combe, la Terrade, Escoutieras, Buxerolles, paroisse de Flavignac ; de Dompnevs, Peytavigne, Groulier, Curmont, Masardi, le Verdier, la Haute-Courrière, Mas-Joly, la Barrière, paroisse de Champsac ; et dans les paroisses de Champagnac, d'Oradour-sur-Vayres, de Saint-Priest-sous-Aixe, de Sereilhac, de Gorre, de Bussière-Galant, de Saint-Martinet, de Nexon, de Lavignac, etc.
La justice appartenait aux comtes des Gars et de Chalus, « estant ledit membre de Puybonnieux enclavé dans leurs comtez. »
En 1615, ce membre était afferme seize cents livres.

L'église de l'annexe de Saint-Martinet était placée sous le vocable de saint Fiacre. On y voyait un reliquaire de cuivre émaillé renfermant des reliques dudit saint Fiacre, de saint Antoine, de saint Paul et de plusieurs autres saints, « et un autre reliquaire en forme de bras, de saint Pardoux. »

Le membre de Puybonnieux avait été vendu, en 1565, pour, la somme de douze mille livres, à François comte des Cars. Il fut racheté, en 1600, par les soins du commandeur Pierre-Louis de Chantelot la Chèze.

Puybonnieux était à l'origine une maison de l'ordre du Temple, dont les biens furent réunis à ceux d'une maison de Saint-Jean de Jérusalem établie à Chennevières (1).
1. Voir les documents VIII, IX et X.
Les revenus de la commanderie de Limoges s'élevaient, en 1615, à : 4,130 livres.
Les charges diverses, à : 838 livres.
Il restait donc au commandeur : 3,292 livres.
A. Vayssière. L'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l'ancien diocèse de Limoges, page 21 et suivantes.
Sources : Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze. Tulle 1884. - BNF


Retour

Top

 

 

Licence Creative Commons
Les Templiers et Les Croisades de Jack Bocar est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas de Modification 4.0 International.
Fondé(e) sur une oeuvre à http://www.templiers.net/.
Les autorisations au-delà du champ de cette licence peuvent être obtenues à http://www.templiers.net/.