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Domus Hospitalis La Ferté-Gaucher

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Provins, Canton: La Ferté-Gaucher — 77


LaFerté-Gaucher
Domus Hospitalis La Ferté-Gaucher

Le premier établissement des Templiers La Ferté Gaucher, ne parait avoir été qu'une simple grange, appelée la Grange de « Costram », qui servait à renfermer les dîmes que l'Ordre possédait dans les environs. Mais au commencement du XIIIe siècle, cette grange était devenue un domaine considérable par les constructions qu'on y avait élevées et par les terres et revenus qui en dépendaient. C'est alors qu'il surgit, entre le seigneur de La Ferté et les Templiers, une grave contestation, qui demanda l'intervention du Roi pour y mettre fin.

Jean de Montmirail, seigneur d'Oisy, et Mathieu de Montmirail, seigneur de La Ferté-Gaucher, son frère, disaient qu'après la mort de leur père, et pendant leur minorité, l'incurie de leur mère ou sa trop grande condescendance envers les Templiers, avait permis à ceux-ci d'agrandir leur établissement de La Ferté, au préjudice de leur domaine et de leurs droits seigneuriaux.

Jean de Montmirail prétendait que, sans la permission du seigneur de la Ferté, ils n'avaient pu légitimement bâtir leur maison de « Contram »; faire des plantations, et convertir des prés en terres à labour. Il leur reprochait d'avoir ruiné sa pêcherie, en détournant le cours des eaux ; et, ce qui était plus grave, d'avoir incorporé dans leur domaine diverses parties de terre de la seigneurie. Il ajoutait que toutes les acquisitions qu'ils avaient faites, dépendant du fief de La Ferté, avaient eu lieu à l'insu du seigneur, et sans payer aucun droit de relief ou de cens. Il citait, au nombre de ces acquisitions irrégulièrement opérées:
Les fiefs de Balard, de Godefroy de Montvereux (de Monte Veroso », de Gibert du Chanoy (de Charnoio (au sud de la Ferté-Gaucher) »;
Les terres et prés achetés du seigneur Arnoud de Montanglaust « de Monte Engleaudi (commune de La Ferté-Gaucher) »;
La portion de moulin qui appartenait à Bienraide « Beneredo »;
Des vignes à La Ferté-Aucol « apud Firmitatem Auculphi (La Ferté-sous-Jouarre) »;
Les maisons de « Gaudi » et d'« Hérupe », achetées des religieux de Reuil « de Rodiolo »;
Les terres et les essarts de La Sablonnière, et autres terres provenant des hommes de Margny « de Marigniaco », et d'Artonges « de Heriteongiaco. »

Il leur reprochait encore d'avoir construit une maison à « La Bacane », sur des terres dont ils s'étaient emparés, mouvant de la seigneurie, et pour lesquelles ils n'avaient jamais payé de cens.

Le Roi, à qui la plainte des seigneurs de La Ferté-Gaucher était parvenue, ordonna une enquête qui fut suivie d'un arbitrage, arbitres nommés furent Guy de la Ravière, écuyer, Eudes Héroles, et l'abbé de Longpont.

Par leur sentence du mois de mars 1217, à laquelle adhérèrent les Templiers et Jean de Montmirail, les arbitres décidèrent que les frères du Temple paieraient à Jean, une somme de 660 livres, à titre d'indemnité ; moyennant quoi, celui-ci les laisserait jouir paisiblement de leurs possessions ci-dessus mentionnées, et renoncerait à toutes réclamations et prétentions contraires. De plus, le seigneur Jean voulut bien consentir à ce que les Templiers pussent acquérir dans son fief des terres à labour, jusqu'à concurrence de deux charrues de 300 arpents, mesure de Provins, à la condition que les récoltes de ces terres ne pourraient être déposées ailleurs que dans leur grange de « Costram ». De leur côté, les Templiers s'engagèrent à ne pouvoir à l'avenir, bâtir ni élever aucune construction, hors de leur pourpris (enclos), sans la permission du seigneur.
Cette convention reçut, en 1228, l'approbation de Mathieu de Montmirail.

Un état de la commanderie de La Ferté, de l'année 1474, tiré de la grande chancellerie de Rhodes, nous fait connaître que le chef-lieu de cette commanderie comprenait une belle et grande maison, avec une chapelle dédiée à la sainte Vierge, sise dans un grand verger clos de murs, le long du grand chemin de La Ferté à Sézanne.

Le Charnoy


Domus Hospitalis Charnoy
Domus Hospitalis Charnoy

Il dépendait de cette maison 350 arpents de terre, dont 50 au lieu dit Le Charrois « in loco dicto Le Charnoy, au sud de La Ferté-Gaucher) », 29 arpents de vigne, d'un rapport de 17 muids de vin, 30 arpents de pré, 90 arpents de bois avec un réservoir près de la maison.

Guillard


Domus Hospitalis Guillard
Domus Hospitalis Guillard

La quatrième partie du moulin de Gaillard « molendini Gillardi, sur le Morin, à l'est de la Ferté-Gaucher). »
Cens et rentes autour la maison, XXI sols, VII poules.

Flegny


Domus Hospitalis Flegny
Domus Hospitalis Flegny

A Flegny « apud Flegniacul », au sud de Saint-Barthélemy, 20 arpents de terre provenant du fief Balard.

Sablonnières


Domus Hospitalis Sablonnières
Domus Hospitalis Sablonnières

A La Sablonnières « apud Sablonières », terrage et droits d'usage dans les bois (Commune: Bellot 77).

Sancy


Domus Hospitalis Sancy
Domus Hospitalis Sancy

Sur la dîme de Sancy « Cenci (Sancy-lès-Provins 77) », 27 setiers de blé.

Pierrelay


Domus Hospitalis Pierrelay
Domus Hospitalis Pierrelay

Aux environs de Pierrelay « circa Petram latam (Pierrelez à l'est de Saint-Mars) », 90 arpents de bois et de terre arable, aux lieux dits la Haute-Borne « alta Bunna », près de la maison de « Predamlou ».

Hantes


Domus Hospitalis Hantes
Domus Hospitalis Hantes

Et à la fontaine aux Hantes « ad fontem es Hantes (Les Hantes, au sud de Pierrelay). »

Sur la dîme de Moutils « super decimam de Monasteriis », la tierce partie.

Ferrière


Domus Hospitalis Ferrière
Domus Hospitalis Ferrière

A Ferrière « apud Ferriam (La Ferrière, au nord-est de Saint-Mars) », et dans la paroisse de Saint-Mars, cens et rentes qui étaient de la censive de Balard et du fief de Godefroy de Montvereux (paroisse de Saint-Mars), neuf setiers de blé par an.

Sur le grand chemin qui passe à Saint-Mars, six arpents de terre.
Au territoire de Luat « Le Luat, bois situé sur La Ferrière et Courvosne, paroisse de Saint-Mars » 62 arpents de terre, mouvant de Regnier des Granges.
Toute la terre de « Blancol », provenant des héritiers d'Hugues Morel.

Lescherolles


Domus Hospitalis Lescherolles
Domus Hospitalis Lescherolles

Autour de la terre de Lescherolles « Lecherot », au lieu dit La Fontaine, 32 arpents de terre provenant de Jean de La Noue.
A Magny « apud Mesnillum (près de Saint-Barthélemy) », 4 arpents de terre.

Jouy


Domus Hospitalis Jouy
Domus Hospitalis Jouy

Sur le moulin de « supra molendinum de Joy (Jouy-sur-Morin) », 6 livres.

Tout ce qui venait de Guillaume de Sablonnières, et fut donné par lui en 1195, dans la banlieue de La Ferté-Gaucher, « infra Benleucam Fermitatis Galeheri. » Sur la maison du Chenoy, ce qui se percevait habituellement à la fête de Saint-Remi.
Le revenu de la maison de La Ferté-Gaucher et de ses dépendances était, en 1757, de 800 livres. Il s'élevait en 1783, à 1.700 livres.

Champbonnois


Domus Hospitalis Champbonnois
Domus Hospitalis Champbonnois

Il dépendait de la commanderie un membre, nommé le Temple de « Champbonnois », dans la paroisse de Choisy-en-Brie. On y réunit au XVe siècle, les Maisons du Temple de Viffort et de Fresnoy (Aube).

Commandeurs Hospitaliers de La Ferté-Gaucher
1356. Frère Robert Denise.
1373. Frère Regnaut du Mont.
1375. Frère Nicole le Bouquillon.
1407. Frère Nicole Coutier.
1423. Frère Jean Grand.
1468. Frère Alexandre de Villeneuve.
1485. Frère Gauthier Coulon.
1493. Le chevalier Jacques Caillot, commandeur de Chantreine.
1496. Frère Fiacre Thomé.
1503. Frère Guillaume de Nouvion.
1508. Frère Jean Léonard, prêtre.
1547. Frère Louis Le Bournizien, prêtre.
1567. Frère Pierre Viel.
1589. Frère Simon Viel, prêtre.
1594. Frère Hector Mengin.
1602. Le chevalier Pierre Le Roy.
1631. Frère Honoré Dufresnes.
1656. Frère Martin Chevrier, prêtre.
1669. Frère Jean de Caillemer, prieur de Saint-Jean-en-l'Ile.
1678. Le chevalier Antoine Du Bois, ci-devant vice-roi de l'Ile de Sainte Croix en Amérique.
1710. Le chevalier Jean-Baptiste Gossart.
1737. Le chevalier Maximilien de La Marche.
1743. Frère François-Alexandre Le Barbier, prieur de Saint-Jean en-l'Ile.
1782. Frère Nicolas Esmangart, servant d'armes.

Domus Hospitalis Champbonnois
Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Provins, Canton: La Ferté-Gaucher, commune: Choisy-en-Brie — 77


Domus Hospitalis Champbonnois
Domus Hospitalis Champbonnois

Le Temple de Champbonnois est marqué sur la carte de Cassini, à une lieue ouest de La Ferté-Gaucher. Cette maison avec la chapelle qui en dépendait, était située sur le chemin Minois.

La chapelle dédiée à la sainte Vierge et à saint Antoine de Padoue, fut détruite pendant les guerres du XVe siècle, et on ne jugea pas à propos de la rétablir.

Les terres du Temple à Champbonnois étaient, en 1474, de 300 arpents, dont la plus grande partie se trouvait en friche et abandonnée. Des habitants de Choisy (Choisy-en-Brie), village voisin, s'en emparèrent pour les cultiver à leur profit. Le Commandeur d'alors était celui de Chantreine, Jacques Caillot. Presque toujours absent, il ne pouvait surveiller les intérêts de sa commanderie de La Ferté, et savoir ce qui s'y passait. C'est ainsi qu'il perdit presque toutes les terres de Champbonnois. Après lui, vint un autre Commandeur, Jean Léonard, qui voulut rentrer en possession de ces biens. Il intenta pour cela un procès contre le prieur de Choisy, seigneur du lieu, dans la mouvance duquel se trouvait la maison de Champbonnois; il l'accusait d'avoir laissé les hommes de sa seigneurie s'emparer des terres de l'Ordre. Le prieur répondait qu'il avait à Choisy et dans ses dépendances, la haute, moyenne et basse justice, et que de tout ce qui s'y trouvait, rien n'appartenait à la commanderie; qu'au surplus, il y avait plus de 34 ans que ses hommes étaient en possession des biens que réclamait le Commandeur, et qu'il y avait en tous cas prescription.

On finit cependant par s'arranger, et le prieur de Choisy restitua au Commandeur le fonds de la maison qui avait été détruite, contenant 9 arpents de terre, et 33 autres arpents qui tenaient à l'ancien manoir. Ces terres étaient affermées, en 1782, 500 livres.

Domus Hospitalis Viffort
Département: Aisne, Arrondissement: Château-Thierry, Canton: Condé-en-Brie — 02


Domus Hospitalis Viffort
Domus Hospitalis Viffort

Viffort, ancienne commanderie du Temple, qui comprenait autrefois deux membres; la terre et seigneurie d'Essises, et une maison à Château-Thierry.

La maison du Temple de Viffort et sa chapelle dédiée à saint Georges, se voyaient au XVIe siècle, sur la gauche de la route de Château-Thierry à Montmirail, dans l'angle formé par la rencontre du chemin de Viffort à Chamblon, avec celui conduisant à la Malmaison

Nous n'avons aucun titre qui puisse nous faire connaître l'origine de cet établissement. Nous trouvons seulement que les Templiers de Viffort eurent, comme ceux de La Ferté-Gaucher, de nombreux démêlés au XIIIe siècle, avec les seigneurs de Montmirail, au sujet de la justice du lieu qu'ils habitaient. Une sentence arbitrale du mois rte septembre 1229, vint mettre un terme à ces conflits, et il fut alors reconnu que la haute, moyenne et basse justice de Viffort et de ses dépendances, appartenait à Jean, seigneur dé Montmirail, et que les Templiers n'auraient le droit qu'une fois par an, de tenir les plaids dans leur maison, en ne pouvant se servir d'autres sergents que de ceux du seigneur de Montmirail.

Quelques années après, nous voyons le même seigneur de Montmirail donner à la maison du Temple de Viffort « domui Templi de Vifoz », cent sols de rente à prendre le jour de saint Martin d'hiver, chaque année, sur le péage et tonlieu de Montmirail, ainsi qu'il résulte de ses lettres, du mois de novembre 1237.

Les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, en possession de la commanderie de Viffort, jugèrent à propos, vu son peu d'importance, de la réunir à la commanderie de La Ferté-Gaucher, dont elle devint un membre à la fin du XVe siècle.

La Maison et la chapelle de Viffort, fut en grande partie détruite durant les guerres du XVe siècle, la maison de Viffort, n'existait plus au XVIIe siècle.

Les terres qui en dépendaient, au nombre de 80 arpents, étaient affermées, avec quelques autres revenus, en 1757, 643 livres, en 1783, 1.000 livres.

Domus Hospitalis d'Essises
Département: Aisne, Arrondissement: Château-Thierry, Canton: Charly-sur-Marne — 02


Domus Hospitalis d'Essises
Domus Hospitalis d'Essises

La terre et seigneurie d'Essises fut donnée au commencement du XIIIe siècle, aux chevaliers du Temple, par une noble dame Mésinde, veuve de Gillon de Châlons, qui déclara dans des lettres d'Haymard, évêque de Soissons, du mois de novembre 1211, leur faire abandon de toute sa terre d'Essises tant en domaine qu'en droits de justice et de seigneurie.

Nous ne savons quelle était l'importance de cette terre ni ce qu'elle devint sous les Hospitaliers; car il n'en est plus parlé à partir du XVe siècle.

Domus Hospitalis Château-Thierry
Département: Aisne, Arrondissement et Cantons: Château-Thierry — 02


Domus Hospitalis Château-Thierry
Domus Hospitalis Château-Thierry

Les Templiers possédaient au XIIIe siècle, une maison avec quelques prairies à Château-Thierry. Ils avaient acheté les prairies, d'une contenance de huit arpents, d'un seigneur, du nom de Guillaume de Bergie, et la tradition s'en était faite par Jacques, évêque de Soissons, en vertu de ses lettres du mois de novembre 1227. Quant à la maison située près du pont de la Marne, ils en étaient en possession auparavant, car Eudes de la Roche, commandeur des maisons du Temple en France, l'accordait à bail en 1225, moyennant une redevance annuelle de 31 sols 7 deniers, monnaie de Provins.

C'est de la même maison qu'il est question dans un acte d'arrentement du 5 février 1486, fait au profit de Pierre Mangin, « d'une mazure et place où il y avoit eu deux corps d'hotel et maisons, assises à Chateau-Thiery, près de la porte du pont de Marne; le tout nommé d'ancienneté « l'hôtel de la Syrene », tenant d'un costé et devers la porte de Marne, à l'allée commune de la forteresse de la ville, et pardevant sur le Grande-Rue, pour en jouir par ledit Mangin et ses héritiers, moyennant 65 sols tournois de rente par an, et à la charge de 5 sols tournois de cens aussi par an, envers le commandeur de La Ferté, et en outre, à la charge de faire bâtir sur ladite mazure et place, une maison sur rue en dedens deux ans. »

Il ne paraît pas que cette maison ait été reconstruite, et, si elle l'a été, elle n'existait plus au siècle dernier, où il ne restait à la commanderie sur Château-Thierry, que les prairies dont nous avons parlé, et quelques terres arables affermées en 1757, 145 livres.

Domus Hospitalis Fresnoy
Département: Aube, Arrondissement: Nogent-sur-Seine, Canton: Villenauxe-la-Grande, commune: Montpothier — 10


Domus Hospitalis Fresnoy
Domus Hospitalis Fresnoy

Cette ancienne commanderie du Temple de Fresnoy, devint sous les hospitaliers, un membre de la commanderie du Val de Provins. Réunie en 1498 à celle de La Ferté-Gaucher, elle passa quelque temps après à la commanderie de Chevru, pour redevenir encore, en 1513, un membre de La Ferté-Gaucher.

On ne connaît pas l'époque où les Templiers fondèrent cette maison. On sait seulement qu'ils possédaient à Fresnoy, dans la paroisse de Montpothier, un bois en 1223, date d'un accord fait entre eux et demoiselle Marguerite du Bois « de Bosco », au sujet d'une terre qu'elle leur concédait à Fresnoy « apud Freneium », touchant au bois du Temple, « juxta nemus Templi. »

D'autres donations de peu d'importance sont faites aux frères de la charité du Temple de Fresnoy, par des personnes du nom de Du Bois, en 1253 et 1299.

La visite prieurale de 1495 constate que la maison de Fresnoy était alors arrentée à un nommé Pierre Louis, marchand à Provins, pour six ans, moyennant 20 livres tournois de redevance annuelle. Le chapelain qui desservait la chapelle de la maison, recevait chaque année, 10 livres.

Le Commandeur avait à Fresnoy la haute, moyenne et basse justice, avec des censives et rentes foncières.

Les terres du domaine étaient de près de 650 arpents, affermées en 1757, à 1.450 livres; et en 1783, à 2.700 livres.

Le revenu général de la commanderie était, en 1583, de 3.319 livres; il était à peu près le même en 1757. Il avait atteint le chiffre de 5.900 livres en 1783.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)

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