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Commanderie de Maison-Neuve les Coulommiers

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Meaux, Canton: Coulommiers — 77


Ferme de l’Hôpital de Coulommiers
Ferme de l’Hôpital de Coulommiers

Maison-Neuve

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Meaux, Canton: Coulommiers: Commune: Aulnoy - 77

Hôpital de Maison-Neuve
Domus Hospitalis Maison-Neuve

Maison-Neuve était, au XIIIe siècle, le chef-lieu d’une commanderie de l’Hôpital Saint-Jean-de-Jérusalem, dont dépendait alors le domaine de la Malmaison, et à laquelle on ajouta, au XVe siècle, un nouveau membre, le fief de Noisement (commune de Saint-Cyr-sur-Morin).

Dans la même contrée, les Templiers possédaient deux commanderies: l’une appelée Commanderie de Coulommiers, et l’autre, commanderie de Bibertaut ou Bilbartaut (commune de Jouarre).

Ces commanderies étant devenues, au XIVe siècle, la propriété des Hospitaliers, ceux-ci les réunirent à celle de Maison-Neuve, pour n’en faire qu’une seule.

Maison-Neuve, qui en était resté le chef-lieu, ayant été brûlé et presque entièrement démoli pendant les guerres du XIVe siècle, on transféra le siège de la commanderie dans la maison de Coulommiers, où il resta jusqu’au commencement du siècle dernier. A cette époque, le Commandeur, qui était le chevalier de Comminges, rétablit Maison-Neuve, y construisit un superbe château, et en fit de nouveau le chef-lieu de la commanderie.

Ces divers changements expliquent comment cette commanderie fut désignée tantôt par un nom, tantôt par un autre, selon que le Commandeur résidait à Maison-Neuve ou à Coulommiers.

Il nous reste peu de titres sur l’Hôpital de Maison-Neuve. Les seuls documents que nous avons encore, sont de la fin du XIIIe siècle, ou du commencement du XIVe. Ils sont relatifs à des procès longs et dispendieux que le Grand-Prieur de France eut à soutenir contre les officiers du Roi, qui lui contestaient le droit de haute justice dans la terre et seigneurie de Maison-Neuve. Il fut enfin reconnu que cette justice appartenait à la commanderie, et que le Grand-Prieur était en droit d’y faire relever les fourches patibulaires qu’on avait abattues.

Maison-Neuve se trouvait sur la route de Coulommiers à Meaux. Ce domaine se composait, au siècle dernier, d’un beau château avec cour d’honneur, entourée de grilles en fer, que M. de Comminges avait fait bâtir en 1719. A côté du château, il y avait une chapelle dédiée à saint Jean-Baptiste, desservie alors par un père capucin de Coulommiers, qui venait y dire la messe les dimanches et fêtes. Derrière le château, était la ferme, qui comptait environ 200 arpents de terre. Le Commandeur avait sur un petit territoire, près de Coulommiers, une petite dîme qu’on appelait « Molvaux. »

Le revenu de Maison-Neuve était, en 1757, de 1.700 livres; et en 1783, de 3.900 livres.

 

Hôpital de La Malmaison

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Meaux, Canton: Coulommiers, commune: Maisoncelles-en-Brie — 77


Hôpital de La Malmaison
Hôpital de La Malmaison

La Malmaison, c’était un petit domaine seigneurial, à une demi-lieue de Maison-Neuve, sur la paroisse de Giremoutiers, lequel se composait d’une habitation avec des terres et quelques censives. La Malmaison, « Mala Domus », fut donnée en 1222 à l’Hôpital de Saint-Jean-de-Jérusalem, par Robert de Donchery; mais, comme ce domaine relevait du seigneur d’Autry, celui-ci en accorda l’amortissement par des lettres du mois de mars de la même année.

En 1312, il ne restait plus du domaine de la Malmaison, qu’une grange, avec 120 arpents de terre. La grange avait disparu à son tour en 1494, ainsi que la moitié des terres. Les soixante arpents qui restaient, furent donnés à cens, moyennant 24 deniers, deux chapons et un boisseau d’avoine par arpent chaque année.

On reconstruisit plus tard une ferme à La Malmaison, qui était louée avec les terres en 1757, 450 livres, et en 1788, 950 livres.

 

Fief de l’Hôpital de Noisement

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Provins, Canton: Rebais, commune: Saint-Cyr-sur-Morin — 77


Hôpital de Noisement
Hôpital de Noisement

Le fief de Noisement situé, comme nous l’avons dit, à Saint-Cyr-sur-Morin, se composait, au XVe siècle, de quelques arpents de terre avec des censives et un droit de justice, moyenne et basse. Il mouvait en partie de la seigneurie du Saulsoy, et pour le restant, de la terre de la Motte-d’Ormoy.

Après l’avoir acheté en 1485, d’Adam Leriche, seigneur du Saulsoy, le Commandeur y fit construire une métairie « en laquelle a quelque petit nombre de terres, de prez et de bois a essarter, povant valloir XII setiers de froment et VI setiers d’avoinne, comptant deux setiers et demy pour deux charges. » (Visite prieurale de 1495).

Au siècle dernier, il ne restait plus à Noisement qu’une grange qui, avec les terres et les droits seigneuriaux, était affermée en 1788, 1.050 livres.

 

Maison de l’Hôpital de Coulommiers

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Meaux, Canton: Coulommiers — 77


Ferme de l’Hôpital de Coulommiers
Ferme de l’Hôpital de Coulommiers

La maison du Temple de Coulommiers, qu’on a nommée ensuite à Hôpital, était située à un quart de lieue de la ville, à droite du chemin conduisant à La Ferté-sous-Jouarre. Les Templiers y étaient déjà établis, lorsque Henri, comte Palatin de Troyes, par ses lettres de l’année 1173, confirma la donation faite par Evrard le Camérier, à la maison du Temple fondée à Coulommiers, « domui de Templo apud Columbarium constitute », d’un moulin sis au dit lieu, y compris le tenancier avec un cens de vingt sols, et la concession, par un nommé Ferry de Paris, en faveur de la même maison, d’un autre moulin à deux roues dans la dite ville, avec une femme vassale et ses deux fils. (Inventaire, des titres de Coulommiers.)

Il paraîtrait que ces deux moulins ne suffisaient pas aux besoins des Templiers de Coulommiers; car nous voyons, par une charte de Marie, comtesse de Troyes, de l’année 1494, qu’ils prenaient cette année-là à cens d’un nommé Pierre de Tosquin, un troisième moulin situé à Coulommiers, à l’entrée du Château, « in ingressu Castelli », moyennant une redevance annuelle de huit setiers d’avoine.

Ils firent quelques années après une acquisition plus importante, de Robert de Milly, de « Milliaco », lequel, par des lettres confirmatives de Thibaut, comte de Troyes, de l’année 1198, leur accorda son champ d’Orgeval, « suum campum de Orgeval », sa terre cultivée devant la porte de Coulommiers, « ante portam Colunbarii », ses prés avec les essarts nouvellement défrichés, de feu Robert le Gros ou le Gras, « Boberti Pinguis », et la terre au-dessus de la vigne du Temple, à la charge de lui rendre chaque année dix muids de grains, moitié blé, moitié avoine, provenant de la grange des Templiers. (Inventaire des titres de Coulommiers)


Ferme de l’Hôpital de Coulommiers
Ferme de l’Hôpital de Coulommiers — Sources: Cartes anciennes Eklablog

D’autres acquisitions, faites pendant le XIIIe siècle, augmentèrent encore les biens du Temple de Coulommiers, dont le domaine comptait, en 1308, 420 arpents de terre en labour, prés, bois et vignes, trois moulins, appelés le moulin du Château, le moulin des Prés, et le moulin d’Ouches; le tout d’un revenu de 240 livres petits tournois.

C’est cette année-là que les Templiers de Coulommiers furent arrêtés par ordre de Philippe-le-Bel. Ils étaient dans leur maison au nombre de quatre, un Commandeur et trois frères. Leurs biens ayant été mis sous séquestre, l’administration en fut donnée à Gillon Barillat, prévôt de Coulommiers, qui ne rendit jamais aucun compte de sa gestion pendant les cinq à six ans qu’elle dura. Barillat étant mort insolvable, ses héritiers renoncèrent à sa succession pour ne pas être obligés de payer ce que leur auteur devait au trésor royal.

Aucune acquisition ne se fit pour la commanderie pendant le XIVe siècle. Les Hospitaliers employèrent tous leurs moyens à réparer les dommages que la guerre avait causés à leur maison.

L’Hôpital possédait, près de Maison-Neuve, un bois, où les habitants de Coulommiers avaient un droit d’usage. Ceux-ci y renoncèrent au commencement du XVe siècle, moyennant une somme qui devait servir à bâtir le clocher de leur ville. Par l’acte de renonciation, qui est du 14 juin 1413, quatre-vingt-treize habitants de Coulommiers, se disant la plus grande et saine partie de la population, déclarent que, depuis un temps immémorial, chaque manant et habitant avait droit d’aller tous les ans, le premier dimanche de mai, dans le bois de la Commanderie, « choisir et abastre une perche d’aulne et icelle abastue estronnée, rognée ou acourcie selon la voulenté d’un chascun, la prenre et emporter garnie du mouchet espécialement jusques au dehors de la terre dudit Hospitail. »

Comme ce droit n’était en réalité d’aucun profit pour les habitants et pour ce que, est-il ajouté, « ils avoient à propos de faire édiffier et ordonner à tousjours en ladite ville ung gros reloge à cloche qui leur sembloit estre chose plus prouffitable pour le temps présent et à venir, que n’est l’usaige dessus dict; » ils abandonnèrent ce droit d’usage à Monseigneur le Grand-Prieur de France, pour la somme de 50 écus d’or, du coin du Roi, qui fut comptée et payée par le commandeur de Coulommiers.

Cette charte est curieuse, en ce qu’elle nous donne l’origine du clocher, ou, comme on disait alors, du gros reloge à cloche de la ville de Coulommiers.

En 1479, la commanderie de Coulommiers fut réunie à celle du Temple de Paris, en conservant toutefois son administration particulière. Les Grands-Prieurs furent pendant quelque temps commandeurs de Coulommiers. Cela dura jusqu’en 1555, où une bulle du Grand-Maître de l’Ordre rétablit l’ancien état des choses, après le décès du titulaire d’alors, qui était François de Lorraine.

La commanderie sous les Grands-Prieurs reçut de notables améliorations. Bertrand de Cluys fit rebâtir à neuf la maison de Coulommiers. Emery d’Amboise restaura la chapelle, et la décora magnifiquement. Cette chapelle était dédiée à sainte Anne, et un frère de l’Ordre, en 1495, y disait la messe trois jours par semaine.

Parmi les nombreux reliquaires qui ornaient alors la chapelle, on remarquait « ung beau bras d’argent doré, auquel estoit l’os du bras, depuys la joincte du couste, et toute la main de saincte Anne; la saincture et le pigne (peigne) de ladite saincte, qui ne sont point enchâssez et pareillement des reliques de sainte Barbe et du sainct huylle de saint Mathieu. »

On voyait autour de l’autel « quatre grants coulompnes de cuyvre, et à chascune un angle (ange) dessus. »

Il y avait en ornements « sept chasubles garnies d’estolles et manipules; le tout de soyes ligeres camocas et camelotz de diverses couleurs, une chappe de satin rouge, deux tuniques et deux dalmatiques; »

En livres d’église: « deux demi-temps, ung antiphonier, ung greil, ung psaultier, une legende dorée, ung épistolier et ung messel noté. »

Emery d’Amboise fit rétablir sur la rivière de Morin, au faubourg de Coulommiers, trois moulins qui étaient tombés en ruines: un moulin à tan, qu’on louait 8 livres par an, un à drap rapportant 10 livres; et un troisième à blé, valant un muid de froment.

Devenu Grand-Maître de l’Ordre, Emery d’Amboise n’oublia pas la chapelle de son ancienne commanderie. Il y fonda, en 1507, une messe qui se disait les mercredis de chaque semaine. Il donna pour cette fondation une maison qu’il avait achetée dans la ville de Coulommiers, près de la place de Saint-Denis. Cette maison, à usage d’auberge, portait pour enseigne: « A l’Autruche. »

Le revenu de la maison de Coulommiers était, en 1757, de 2.750 livres; et en 1783, de 6.250 livres.

 

Domaine de l’Hôpital Le Poncet

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Meaux, Canton: Fontenay-Trésigny, Commune: Faremoutiers — 77


Hôpital de Poncet
Hôpital de Poncet

Le Poncet, c’était un membre de l’ancienne commanderie de Coulommiers. Ce petit domaine seigneurial, situé dans la paroisse de Doué, près du chemin conduisant à l’Orme des Croisettes, avait été donné aux Templiers vers le milieu du XIIe siècle, par un seigneur de Plancy, ainsi qu’il résulte des lettres de Henri, comte de Troyes, du mois d’avril 1155, portant que Milon, seigneur de Plancy, et Alice, sa femme, ont donné aux frères du Temple, la maison du Poncet, « domum de Poncello », nommée aussi Maison de Doué, avec le pourpris, les terres, prés et revenus en dépendant, à la charge d’en payer les cens. Le comte Henri, qui approuva cette donation, y ajouta, en faveur des Templiers, la voirie et d’autres droits qui lui appartenaient, avec l’usage de la forêt de Meauce, pour le chauffage de ceux qui viendraient demeurer au Poncet.

Le domaine du Poncet comprenait, en 1312, une vingtaine d’arpents de terre; mais ce qui faisait son principal revenu, c’était la dîme de Doué et celle de Saint-Germain, village voisin, qui rapportaient par an plus de cinquante muids de grain, à la mesure de Coulommiers, et des pailles pour trente livres. On renfermait le produit de ces dîmes dans une grange, appelée la Grange de « Molierrain », dépendante de la maison du Poncet.

Le revenu du Poncet qui était, en 1307, de 220 livres petits tournois, s’élevait, en 1757, à 4.000 livres. A cette dernière date, la maison et la grange n’existaient plus.

 

Maison de l’Hôpital de Bilbartaut

Département: Seine-et-Marne, Arrondissement: Meaux, Canton: La Ferté-sous-Jouarre, commune: Le Petit Bilbartault — 77


Hôpital de Bilbartaut
Hôpital de Bilbartaut

Au moment de la chute des Templiers, Bilbartaut était une commanderie de l’Ordre, où il y avait quatre frères. Le titre le plus ancien qui mentionne cet établissement, est un accord fait au mois de février 1219, entre les religieuses de Jouarre et les frères du Temple, au sujet de trois muids de grain que les religieuses avaient droit de prendre chaque année dans la grange de Bilbartaut, « in Granchia de Biberstot », et aussi au sujet d’une rente foncière de 30 sols tournois due par les Templiers, sur des terres qui leur appartenaient.

Bilbartaut était alors une simple grange dîmeresse, dont dépendaient quelques terres dans la censive des religieuses de Jouarre; mais il ne devait pas tarder à devenir un domaine beaucoup plus considérable.

Thibaut, comte de Champagne et de Brie, était renommé pour sa bienfaisance et sa générosité envers les chevaliers du Temple. Ses élans de charité l’entraînaient parfois à leur donner plus qu’il ne pouvait accorder. Il leur avait constitué une rente de quatre-vingt quatorze livres, dont le service lui était devenu tellement onéreux, qu’il voulut la racheter. Pour cela, il leur abandonna, par ses lettres du mois de juin 1232, 400 arpents de terre dans la forêt de « Mahaut »; au moyen de quoi les Templières le déchargèrent entièrement de sa rente (Inventaire, des titres de Coulommiers).

Ces 400 arpents de terre constituèrent en quelque sorte le domaine de Bilbartaut qui, avant, n’en comptait que 150, et ne possédait pas de chapelle. Il est vrai qu’à la chute des Templiers, tout était préparé pour en bâtir une, et que les Hospitaliers s’acquittèrent de cette tâche comme d’une dette sacrée.

Pendant le procès des Templiers, le prévôt de Coulommiers avait été chargé de l’administration de la commanderie de Bilbartaut. Il n’avait pas mieux rempli sa mission ici qu’à Coulommiers. Il avait dégarni la maison de toutes les choses nécessaires à l’exploitation des terres. Il avait vendu tout le mobilier, et affermé le domaine de la commanderie à un de ses parents, Jean Barillat, moyennant un rendage de neuf livres par an.

La visite prieurale de 1495 mentionne en ces termes l’état de l’ancienne maison de Bilbartaut: « ung territoire et mestairie, nommée Bibertot, lequel sert pour la garde des estangs, qui peult donner de prouffit tous les ans de froment X setiers, et d’avoinne V. Ladite mestairie a une forest tout à l’entour, en laquelle aulcune foiz a quelque peu de pesson. »

Les étangs qui dépendaient de Bilbartaut, se nommaient: le « Grand-Etang », qui contenait 107 arpents de terre; l’étang de « La Porte » (34 arpents); l’étang de « La Bergerie » (6 arpents); l’étang de « L’Aulne » (18 arpents); l’étang du « Four » (12 arpents); l’étang de « La Noue »; l’étang « Frère Nicole »; l’étang « Tortelette »; l’étang de « Beauregard » (13 arpents), l’étang « Pierre Martin », « La Fourcière » et « La Fourcière-Marion. » Tous ces étangs étaient affermés en 1553, 460 livres tournois; et en 1757, 900 livres.

La maison de Bilbartaut était située à une demi-lieue de La Malmaison, sur le chemin conduisant de Bilbartaut à la chaussée de l’étang de « La Porte. » Elle comprenait, au siècle dernier, 300 arpents de terre, partie en labour, partie en prairie; qui rapportaient, avec quelques menues dîmes, 1.600 livres en 1757, et en 1788, 4.000 livres.

Les bois de Bilbartaut et de Maison-Neuve, étaient d’environ 220 arpents, et produisaient année commune, à la fin du siècle dernier, 1.850 livres.

Le revenu général de la commanderie de Maison-Neuve et de Coulommiers, qui n’était, en 1495, que de 255 livres, s’élevait, en 1583, à 3.750 livres; en 1757, à 9.000 livres; et en 1789, à 24.580 livres.

 

Noms des Commandeurs de Maison-Neuve et de Coulommiers

1324. Frère Jehan de Beaumetz.
1342. Fr. Simon de Chauderon.
1356. Fr. Guy de la Noue.
1372. Fr. Jehan Delacourt.
1379. Fr. Raoul de Borg.
1388. Fr. Jehan le Braquier.
1394. Fr. Pierre le Bescot.
1398. Fr. Jehan le Gruier.
1400. Fr. Jehan Fromentin.
1414. Fr. Eustache de Cueilly.
1424. Fr. Henri de Bye.
1433. Fr. Jehan le Gay.
1448. Fr. Roger Sergent.
1455. Fr. Simon Hardy.
1469. Le chevalier Bertrand de Cluys, Grand-Prieur de France.
1483. Le chev. Emery d’Amboise, Grand-Prieur de France.
1504. Le chev. Jacques de Château-Châlons, Grand-Prieur de France.
1506. Le chev. Antoine Chabot, Grand-Prieur de France.
1510. Le chev. Pierre de Pons, Grand-Prieur de France.
1514. Le chev. Charles de Brumières, Grand-Prieur de France.
1518. Le chev. Nicolas d’Aubusson, Grand-Prieur de France.
1520. Le chev. Philippe de Villiers-l’Isle-Adam, Grand-Prieur de France.
1523. Le chev. Pierre de Cluys, Grand-Prieur de France.
1537. Le chev. Jacques de Bourbon, Grand-Prieur de France.
1542. Le chev. Philippe Carleau, Grand-Prieur de France.
1547. Le chev. Claude Danssienville, Grand-Prieur de France.
1549. Le chev. François de Lorraine, Grand-Prieur de France.
1565. Le chev. Thomas de Mye, dit Guespré.
1583. Le chev. Georges de Regnier, dit Guerchy.
1596. Le chev. Nicolas Aguevin, duc de Vilvaudé.
1601. Le chev. Hugues de Fouilleuse de Flavacourt.
1630. Le dit George de Regnier, dit Guerchy.
1634. Le chev. Jean de Mondion, seigneur de la Salle.
1639. Le chev. Maximilien de Dampont, bailli de la Morée.
1665. Le chev. Jacques de Gaulne de Covigny.
1682. Le chev. Nicolas Chevestre de Cintray.
1688. Le chev. Gabriel de Fresnière.
1701. Le chev. Louis le Tonnelier de Breteuil, maréchal-de-camp des armées du Roi, capitaine au régiment des Gardes françaises.
1716. Le chev. François de Comminges, abbé commandataire de l’abbaye royale de N.-D. de Loroux en Anjou.
1731. Le chev. Jean-Jacques de Mesmes.
1744. Le chev. Constantin-Louis d’Estourmel, chef d’escadre des armées navales du Roi.
1763. Le chev. de Picot de Combrieux.
1772. Le chev. Charles-Pierre de Saint-Pol-Hécourt.
1776. Le chev. Claude de Rouvray de Saint-Simon.
1788. Le chev. François-Thérèse de Géraldin.
Sources: les commanderies du Grand-Prieuré de France — Eugène Mannier — Paris, Aubry et Dumoulin, 1872 (Paris)

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