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Commanderies de l’Ordre de Malte
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Aix-en-Provence

Département: Bouches-du-Rhône, Arrondissement et Canton: Aix-en-Provence - 13

Domus Hospitalis Aix-en-Provence
Domus Hospitalis Aix-en-Provence

22 janvier 1762
— Folios 216-240.
— Visite générale du prieuré de Saint-Jean d’Aix, possédé par Jean-Baptiste de Viguier, prêtre conventuel de l’ordre.
Les visiteurs généraux sont le commandeur du Poët-Laval et Pierre Moutte, prêtre agrégé de l’église prieurale.
La visite commence le 22 janvier 1762.
Déclaration sous serment du prieur.
Visite de l’église.
Le prieur est en habit de cérémonie.
Autel en marbre jaspé et blanc, avec niche en marbre blanc où est représenté saint Jean-Baptiste.
Chandeliers aux armes du prieur Viany, défunt.
Le devant de l’autel est à tombeau, en marbre, avec des têtes d’anges sur les côtés, et sur le devant la tête de saint Jean dans un bassin.
Ciboire de vermeil.
Le choeur est placé derrière l’autel et garni de « formes » en noyer, deux au fond, servant pour le prieur et le sacristain, et deux aux extrémités pour les prêtres officiants, avec dais en noyer.
Dans le fond, le « presbytère » est peint à fresque. Il représente le baptême de J.-G.
Description détaillée de l’église et des chapelles.
Mausolées d’Ildephonse et de Bérenger, comtes de Provence, dans la première chapelle, du côté de l’Evangile.
Chapelle du grand-maître Hélion de Villeneuve, sous le titre de N.-D. de Bon-Repos.
Dans la quatrième chapelle, buste en marbre blanc du prieur Viany, qui est inhumé là.
Dans la cinquième chapelle, tombeau de l’avocat Barret.
Dans la première chapelle du côté de l’épître, mausolée de Béatrix, comtesse de Provence, faisant face à celui d’Ildephonse.
Tombeaux de Poncet d’Urre, commandeur d’Aix, et du chevalier de La Tour-Landry, avec inscription sur cuivre.
La troisième chapelle servait jadis aux traiteurs de la ville. Ils y avaient établi leur confrérie, expulsée de l’église par le prieur, à cause de leur licence et de leur indiscrétion.
La quatrième chapelle a été bâtie par la libéralité du commandeur de Simiane. Elle est le siège de la confrérie des Ames du Purgatoire. Une confrérie de paysans s’y assemblait aussi à un autel de la Sainte-Croix. Sous prétexte de quête pour décorer ce deuxième autel, la confrérie tenait des réunions tumultueuses et déshonnêtes à la porte de la ville dite de Saint-Jean, et le prieur l’a chassée.
Confessionnal d’Ignace Goëlzman, prêtre d’obédience, sacristain de Strasbourg, approuvé pour confesser les Allemands. Tapisserie de 48 lés de damas à bandes cramoisies et vertes, en cinq pièces, placée dans le sanctuaire, avec frange de soie
en haut.
Deux étendards pris sur les infidèles par le bailli de Ricard.
Douze portraits de religieux et religieuses de l’ordre, avec cadres de bois noir aux armes de Puget.
Sur la grande porte, armoiries de la religion, du grand-maître de Vignancourt, du bailli de Manosque, Bérenger (folios 216-218).
— Visite de la sacristie. Elle se compose de trois pièces.
Dans la troisième sacristie sont conservés les vases sacrés et la vaisselle, tant de l’église prieurale d’Aix, que de la sacristie de la commanderie de Marseille.
Vaisselle d’argent du prieuré d’Aix. Très beau « soleil » d’argent orné d’une croix de diamants, estimé 800 livres, en 1708.
Deux lampes d’argent fort belles.
Chapelle d’argent de 16 marcs 6 onces.
Croix émaillée de l’ordre, à huit pointes.
Reliquaires de saint Blaise, sainte Marthe, du bois de la vraie croix, de deux épines de la couronne de N.-S., d’une dent de saint Jean-Baptiste, d’un doigt de sainte Marie-Madeleine, d’une côte de saint Clair, de l’un des trente deniers, avec deux yeux d’argent, collier de saint Blaise, reliques de saint Symphorien ; petit autel portatif d’ivoire à trois pointes ;
mitre en broderie et crosse d’ivoire en plusieurs pièces ; peigne en corne de saint Thomas de Cantorbéry ; coffre et boîtes d’ivoire avec reliques (folio 219).
Ornements appartenant au prieuré d’Aix, linge, livres, etc. (folios 219-222).
Argenterie de l’église et sacristie de Marseille, avec ornements, etc. (folios 222-223).
— Fondations, revenus et charges. (folios 223-225).
— Visite de la maison du prieuré et dépendances, le 23 janvier 1762.
Meubles d’état du prieuré.
Tableaux, entre autres Suzanne au bain.
Portraits du grand-maître Cotoner et de Lucas Bonus.
Tapisseries à verdures, fort anciennes, vaisselle d’étain. On ferme à 10 h. du soir, mais divers prêtres agrégés et autres ont des clés de la porte, et peuvent entrer et sortir à volonté, au mépris du bon ordre (folios 225-228).
— Visite du moulin à huile, des boutiques, maisons et dépendances dans l’enceinte du prieuré, le 25 janvier (folios 228-229).

— Visite du membre de Sainte-Catherine (?), église et maison joignante, le 26 janvier (folios 229-231).

Saint-Jean
Département: Bouches-du-Rhône, Arrondissement et Canton: Aix-en-Provence - 13

Domus Hospitalis Saint-Jean
Domus Hospitalis Saint-Jean

— Visite de la métairie de Saint-Jean de Moissac, à une lieue d’Aix, le 27 janvier (folios 231-233).

— Revenus et charges du prieuré d’Aix.
Les revenus sont de 6.657 livres.
Les charges sont de 684 livres, 17 sols, 4 denier.
Reste net 5.972 livres, 2 s. 8 d.
— Ordonnances, du 29 janvier 1762.
Sources : Bondurand, Édouard. Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Archives civiles. Supplément à la série C. Série D. Archives religieuses. Supplément aux séries G et H. Pages 224-225. BNF

18 décembre 1776
1718-1786. — Grand, prieuré de Saint-Gilles.
— Visite générale des commanderies d’Aix, La Favillane, Marseille, La Vernède.
1. Visite générale de la commanderie d’Aix, possédée par Nicolas de Cabre, chevalier, bailli et grand-croix de l’ordre.
Elle commence le 18 décembre 1776.
Les visiteurs généraux sont Chrysostome de Gaillard d’Agoult, commandeur du Poët-Laval, et Jean-Joseph Gontard, prêtre collégial de l’église prieurale et collégiale de Saint-Jean de Saint-Gilles, suivant commission de Paul-Augustin des Rollands-Reauville, grand prieur de Saint-Gilles. Leur secrétaire est Jean-Antoine Dalmas.
Ils trouvent à Aix Jean-Louis Constantin, procureur fondé du bailli.
Le chef consiste au droit qu’a le bailli, comme, prieur primitif de l’église et prieuré de Saint-Jean d’Aix, de conférer les bénéfices du prieur et du sacristain de ladite église, en cas de vacance. En cette qualité, il a la première place dans le sanctuaire de l’église, que visitent les commissaires.
Le dossier de la place du commandeur porte les armoiries de la religion, du grand maître de Perellos et du bailli de Beauchamp, ancien commandeur d’Aix. Le bailli fait parer son banc avec tapis, dossier et Carreau de moquette cramoisis, quand on pare le banc des commandeurs et des chevaliers, qui est dans l’église.

Commanderie de Ginasservis
Département: Var, Arrondissement: Brignoles, Canton: Varages - 83

Domus Hospitalis Ginasservis
Domus Hospitalis Ginasservis

— Visite du membre de Ginasservis, le 19 décembre, à sept lieues d’Aix.
Église paroissiale sous le titre de SainL-Laurent.
Deux calices d’argent, l’un aux armes de la religion, l’autre avec la croix de l’ordre.
Petite croix d’argent contenant des reliques de saint Jean, saint Denis, saint Laurent et du Saint-Sépulcre.
Croix processionnelle d’argent aux armes de Verdelin.
Les caisses des reliques ont été portées, par ordre du bailli, chez l’abbé de Pierrefeu, l’un des vicaires généraux de l’archevêque d’Aix, pour y être vérifiées.
Banc du commandeur dans le sanctuaire.
Statuette du pape saint Damase et buste de saint Laurent, l’un et l’autre en bois doré et renfermant, des reliques desdits saints.
Dans la nef, autre banc du commandeur, où il siège comme seigneur temporel.
Chapelle dédiée à N.-Dame d’Appui, sur une éminence, en face du château.
Les pénitents blancs y célèbrent leurs offices par la tolérance du commandeur.
Retable de bois doré, à la confrérie.
Officiers de justice.
Droit de leyde et pulvérage, à raison d’un liard par trentenier de bétail menu et d’un sol par grosse bête.
Droit de tasque ou champart au huitain des grains et fruits recueillis dans les terres « gastes » et autres terres dites des huitains.
Mention du commandeur de Margaillet.
Bail du 16 juin 1308 concernant les prés et marais.
Mention du commandeur de Tressemannes (1759-1764).
Château, dominant le village.
Grand portail en pierre de taille, au-dessus duquel sont sculptées les armes du bailli de Gaillard, grand prieur de Saint-Gilles et commandeur d’Aix, avec la date de 1740.
A gauche, armes du commandeur de Puget.
Prison souterraine au-dessous de la chapelle. Elle est « très bien fermée »
On entre dans le château par une porte au-dessus de laquelle sont les armes de Castellanne.
Dans la chapelle, tableaux encadrés de bleu veiné d’or.
Le tableau de saint Antoine est aux armes du commandeur de Beauchamp. Il provient de la chapelle de la métairie de Saint-Antoine, chapelle interdite.
Grande salle. Chambres. Grand cabinet du précédent commandeur.
Auditoire de justice, construit par le bailli de Cabre depuis trois ans.
Les meubles d’état ont dépéri par défaut d’entretien et négligence des fermiers.
Visite des consuls et officiers municipaux, accompagnés des principaux habitants.
Les commissaires la leur rendent à l’hôtel de ville.
Domaine. Domaine annexé à la métairie de Saint-Antoine. Métairie de Burle (folios 1-14).

Ginacervis ou Ginasservis
L’histoire bien connue de Ginasservis commence en 1241 quand ce territoire revient à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem ; jusqu’en 1789 le commandeur d’Aix en est le seigneur temporel et spirituel. Les Hospitaliers construisent ici un important château fort où réside souvent le commandeur et dont il reste aujourd’hui quelques ruines. Ce château est plusieurs fois délabré ; reconstruit une dernière fois au XVIIe siècle, il était devenu, comme ailleurs, une simple résidence seigneuriale entièrement démolie à la Révolution. Les hospitaliers bâtirent aussi une enceinte fortifiée à Saint-Antoine dans un domaine de plusieurs centaines d’hectares.
Sources : Joseph Piégay, Au Moyen-Age entre Durance et Verdon, Éditions Résonnances, 2004.

Approbation du Chapitre provincial de l’Hôpital
On y trouve un Frère Ugo de Ginasservis (page 76)
On y trouve un Frère Raymundus de Ginacerviis (page 79)
Sources : Chanoine F. Giraud. Le Bienheureux Gérard : fondateur et premier grand maître des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem (Ordre de Malte) : étude historique et hagiologique, suivie de documents originaux et inédits. Aix 1909
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5557763p/f94

Ginacervis ou Ginasservis
La Commune de Manosque avait toujours concouru à fournir ces cavalcades, mais elle prétendait que c’était volontairement et sans que les hospitaliers eussent des titres pour l’y contraindre. Cependant ceux-ci représentaient le Seigneur à qui très certainement les cavalcades étaient dues, et les privilèges de la Commune ne l’avaient pas affranchie de cette charge. Les
habitants demandaient que le passé ne put leur être opposé et qu’on ne s’en fit pas un titre contre eux dans l’avenir. On convint que toutes les fois que les hospitaliers seraient requis de faire les cavalcades auxquelles ils étaient assujettis envers le Comte de Provence, la Commune y concourrait pour la moitié, par conséquent qu’elle équiperait etentretieridrait à ses frais pendant quarante jours, cinq cavaliers et cinquante fantassins. Les conditions furent d’ailleurs les mêmes que celles qui avaient été faites à l’hôpital par la transaction de 1202, c’est-à-dire que si les hommes rentraient le soir dans la ville ce jour n’était pas compté pour le service ; mais toutes les fois qu’ils découchaient les jours de départ et d’arrivée leur étaient comptés en déduction. Les habitants étaient d’ailleurs obligés de se rendre si le Comte ou son sénéchal devait livrer bataille ou s’il s’agissait de délivrer une ville assiégée.

Le même nombre d’hommes de pied et de cavaliers dut être fourni par la Commune pour les cavalcades dues à l’hôpital qui se chargeait d’équiper les derniers. Seulement on ne pouvait dans ce cas, mener ces soldats que dans le comté de Forcalquier et dans la partie du Comté de Provence comprise entre Puimoîsson, Vinon et Ginasservis. D’ailleurs l’hôpital ne pouvait exiger ces cavalcades avant d’avoir obtenu l’autorisation de prendre les armes, du Comte ou de son sénéchal s’il s’agissait du comté de Provence, et du Seigneur du comté de Forcalquier ou de son viguier si l’on devait guerroyer sur les terres de ce comté.

On laissa au Commandeur et à Jacques Robin jurisconsulte le droit d’interpréter les clauses de cette transaction qui pourraient paraître ambiguës. Quatorze hospitaliers présents à Manosque, douze habitants du Château et vingt-sept du Bourg approuvèrent cet acte que ratifia le 4 des nones d’octobre 1293 un chapitre du grand prieuré tenu à Montpellier.
Page 64-65
Sources : Arbaud, Damase. Études historiques sur la ville de Manosque au moyen âge. Digne 1847 BNF

Vinon
Département: Var, Arrondissement: Brignoles, Canton: Manosque, Commune: Vinon-sur-Verdon - 83

Domus Hospitalis Vinon
Domus Hospitalis Vinon

— Visite du membre de Vinon, le 21 décembre.
Église paroissiale sous le titre de la Transfiguration.
Retable surmonté de deux anges soutenant un écusson chargé de la croix pleine de l’ordre, en bois peint en vert, sculpté et doré.
Banc du commandeur.
Calices d’argent, aux armes de la religion.
Ostensoir de vermeil, garni de ses cristaux et croissant doré.
Grande croix processionnelle plaquée d’argent, avec figures en vermeil. Croix processionnelle d’argent « haché »
Mention du commandeur de Tressemannes.
Officiers de justice.
Droit de port, bac et barque sur la rivière du Verdon.
Le commandeur a le droit de régale dans le terroir de Vinon, le long du Verdon. C’est le droit d’alluvion.
Château ruiné, dominant le village.
Domaine. Métairie de La Clape.
La plaine, ou tènement de Pelonière, est mal cultivée. Cela provient du désordre avec lequel les habitants s’emparent des parcelles à leur bienséance. Ils consultent plus leur cupidité que leurs moyens de culture. Leurs querelles et usurpations réciproques, réduisent beaucoup le revenu d’un bien mal administré, pour le bailli de Cabre.
Transaction du 14 avril 1774 entre le commandeur et le comte de Valbelle au sujet du ruisseau de Châteauneuf, séparant la seigneurie de Vinon de celle de Cadarache (folios 14-20).

Brauch
Département: Var, Arrondissement et Canton: Brignoles, Commune: Carcès - 83

Domus Hospitalis Brauch
Domus Hospitalis Brauch

— Visite du membre de Brauch, le 23 décembre, au diocèse de Riez.
Église paroissiale, sous le titre de Saint-Pierre-ès-liens.
Calice d’argent aux armes du bailli de Cabre.
Ciboire d’argent aux armes du bailli de Beauchamp.
Domaine.

Trets
Département: Bouches-du-Rhône, Arrondissement et Canton: Aix-en-Provence - 13

Domus Hospitalis Trets
Domus Hospitalis Trets

— Visite du membre de Trets, au diocèse d’Aix, le 24 décembre.
Il consiste au terroir de Saint-Martin de Vidolis, avec des ruines qu’on dit être les débris d’une ancienne chapelle sous le titre de Saint-Martin.

— Dénombrement du membre de Saint-Paul-lez-Durance et du membre de Notre-Dame de la Mer ou Les Saintes-Maries.
— Dénombrement du membre de Saint-Maximin.
— Dénombrement des membres de Malemort et d’Alen.

— Revenu de la commanderie : 21.801 livres, 10 sols.
Charges : 4.038 livres, 16 s. 1 d.
Reste net : 17.762 livres, 13 s. 11 d.
— Ordonnances, datées de Ginasservis, 28 décembre 1776 (folios 20-26).
Sources : Bondurand, Édouard. Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Archives civiles. Supplément à la série C. Série D. Archives religieuses. Supplément aux séries G et H. Nîmes 1916. BNF

27 mai 1786
La Favillanne ou Favouillane IGN

La Favillanne ou La Favouillane
Domus Hospitalis La Favouillane

— 2. Visite générale de la commanderie de La Favillanne, possédée ou jouie à titre d’échevissement par Bruno-Marie de Foresta, chevalier, procureur général et receveur du commun trésor au grand prieuré de Saint-Gilles.
Elle commence le 27 mai 1786.
Les visiteurs généraux sont Joseph-François-Gabriel-Guillaume de Lestang-Parade, chevalier, bailli, grand-croix de l’ordre, grand prieur de Saint-Gilles, commandeur de Sainte-Luce, et Gérard Pillier, prêtre bénéficier, sous-chanoine de l’église d’Arles, son aumônier, qu’il a nommé commissaire avec lui.

— Visite du membre de Porte-Arnaud (?)
C’est une métairie, à une demi-lieue d’Arles.

— Visite de La Favillanne, chef-lieu de la commanderie à cinq lieues d’Arles, quartier du Plan du Bourg, paroisse de Saint-Trophime, le 13 juin 1786.
C’est un mas ou métairie.
— Revenu de la commanderie : 6.200 livres.
Charges : 1.594 livres, 5 s.
Reste net : 4.605 livres, 15 s.
— Ordonnances, datées d’Arles, 14 juin 1786 (folios 1-6).
Sources : Bondurand, Édouard. Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Archives civiles. Supplément à la série C. Série D. Archives religieuses. Supplément aux séries G et H. Nîmes 1916. BNF

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