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Etudes sur les Ordres des Hospitaliers, Malte et Rhodes
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Les biens des Hospitaliers dans le diocèse de Saintes en 1373

Le 1er octobre 1373, à l’heure de tierce, dans la salle de l’audience du palais épiscopal de Saintes, les vicaires de l’évêque reçurent, au nom du prélat alors absent, une bulle du pape Grégoire XI. Le souverain pontife ordonnait à l’évêque de procéder, dans toute l’étendue du diocèse, à une enquête sur les biens des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. Les résultats de cette information devaient être consignés dans un procès-verbal notarié. Celui-ci fut en effet rédigé, à la fin du mois d’octobre, par un certain Pierre Raymond, prêtre du diocèse de Rouen, résidant dans celui de Saintes, et se qualifiant de notaire impérial. Le rouleau de parchemin fut ensuite transmis à Avignon. Il se trouve aujourd’hui aux Archives du Vatican (1). Ce texte fait partie d’un ensemble de documents de même nature, qui intéressent de nombreux diocèses européens, et dont la liste, accompagnée d’un commentaire, a été récemment livrée au public (2). Il suffira donc de rappeler ici que l’enquête pontificale, prescrite en février 1373, avait pour objet d’informer la chambre apostolique sur la localisation, la consistance et les revenus des Hospitaliers de Saint-Jean-de Jérusalem. Le pape ordonnait au surplus de consigner dans les procès-verbaux, rédigés sous la responsabilité des évêques, le nom de baptême, le surnom, l’âge des commandeurs, des prêtres et des chevaliers vivant sur les terres de l’Ordre. On peut s’interroger sur les raisons de l’initiative prise par Grégoire XI. Il est probable que le pape projetait de modifier l’administration des biens des Hospitaliers, en y généralisant la pratique du fermage. Ainsi, les Hospitaliers, dégagés des soucis du faire-valoir direct, pourraient-ils regagner l’Orient et prendre part à la croisade à laquelle rêvait alors le souvenir pontife.
1. Archives du Vatican, Castel S. Angelo, AA, Arm. C, 268. Le rouleau de parchemin est long de 2,70 m, et large de 0,80 - 0,87 m. Il est constitué de quatre peaux. Le repli droit est mutilé. L’humidité a altéré le texte.
2. J. GLENISSON, L’enquête pontificale de 1373 sur les possessions des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, dans Bibliothèque de l’Ecole des Chartes, tome 129 (1971), pages 83-111. Le présent article doit beaucoup à la collaboration de Mlle Anne-Marie Legras, attachée à l’Institut de recherche et d’histoire des textes.


Les documents qui résultèrent de cette enquête sont, pour la plupart, inédits. Tel est le cas de l’information à laquelle il fut procédé dans le diocèse de Saintes. Le premier mérite de ce texte est sans doute de permettre de dresser la liste précise des possessions des Hospitaliers en 1373, et l’on sait qu’à cette date l’Hôpital avait définitivement absorbé les biens qui lui avaient été dévolus après la dissolution de l’Ordre du Temple. Publiée en appendice, cette liste offrira peut-être quelques compléments à la géographie historique de la Saintonge et de l’Aunis. L’historien retiendra également les précisions que fournit le procès-verbal notarié sur la vie économique, ainsi que sur la situation politique et militaire dans le diocèse de Saintes, en une période difficile.

* * *

En 1373, le diocèse compte treize commanderies d’Hospitaliers, presque toutes dotées de dépendances, ou « maisons » Si l’on excepte les deux commanderies de La Rochelle — que complètent d’ailleurs des exploitations agricoles — tous ces établissements consistent en domaines ruraux.
Le tableau qu’en dressent les délégués de l’évêque de Saintes est fort peu brillant. Partout règnent le désordre et la pénurie. Les témoins interrogés accusent la guerre, qui sévit, disent-ils, depuis une trentaine d’années. C’est la guerre en effet, qui contraint les Hospitaliers à relever leurs lieux forts, à édifier de nouvelles fortifications, à engager des dépenses pour en assurer la garde : ainsi aux Epaux, à Beauvais-sur-Matha. C’est la guerre qui interrompt les communications, isole des portions de territoire occupées par l’Anglais du reste du pays.
La commanderie de Châteaubernard est inaccessible : l’ennemi occupe Merpins et Cognac.
La commanderie des Eglises-d’Argenteuil vit sous la menace des hommes d’armes retranchés à Fontaines et a Nouaillé ; en 1372, le commandeur a été capturé par les Anglais, il a subi des sévices et n’a été relâché qu’au prix d’une forte rançon.
La commanderie du Breuil-du-Pas ne peut être atteinte ni par voie de terre, en raison de la présence d’une garnison anglaise à Mortagne, ni par voie maritime : les bateaux ennemis surveillent la côte.
Les clercs de l’évêque de Saintes, peu soucieux d’être pris et mis à rançon, n’ont même pas songé à enquêter dans ces localités exposées.
Le danger est à peine moins grand dans les zones demeurées « françaises »
Les trois frères de l’Hôpital qui résident à Courant ont transformé la commanderie en repaire de brigands. Le messager de l’évêché y a été reçu sans douceur : les lettres apostoliques lui ont été arrachées, il a été jeté en prison. Libéré, il a reçu mission de signifier aux enquêteurs que toute incursion sur le domaine de la commanderie leur ferait courir péril de mort.

En maints endroits, les destructions consécutives à la guerre ont entraîné l’abandon total des domaines :
Au Mung, à Goux, membres du Temple de La Rochelle.
A Angoulême, au Fouilloux, à Boixe, à Sallerit, à Bourcelaine, membres de la commanderie de Beauvais-sur-Matha.
A Lugéras, à la Grolle, à la Grand Vaul, à Mélac, à Lassac, membres de la commanderie de Bussac.

Un dicton saintongeais assurait, à la fin du moyen âge, que « les bois étaient venus en France par les Anglais » De fait, l’enquête révèle, en tout lieu, l’abandon des cultures, le progrès des friches qui gagnent sur les vignes et les prés.
Les maisons de Bernay et de Séchebouc n’ont pas été abandonnées et pourtant, toutes leurs terres sont incultes.
Là-même où l’exploitation n’a pas été totalement arrêtée, la production agricole a subi une chute dont la traduction en langage statistique moderne fait immédiatement percevoir l’aspect catastrophique.
La culture des céréales a été profondément atteinte.
Celle de la commanderie de Beauvais-sur-Matha a diminué de 90 % depuis que la guerre et la peste ravagent la Saintonge.
Elle était de 400 boisseaux (froment, méteil, avoine) vers le milieu du siècle ; elle n’atteint que 40 boisseaux en 1373.
La chute équivaut à 89 % sur les terres de la commanderie de Bussac : 10 setiers en 1373, contre 93 setiers avant les malheurs.
La commanderie de Civrac engrangeait 40 boisseaux de froment et 140 boisseaux d’avoine : elle n’en récolte plus que 12 et 40 boisseaux.
Au Dognon, 8 setiers contre 30 setiers de grain (chute de 73 %).
Aux Epaux, on est passé de 700 boisseaux (500 d’avoine, 200 de froment) à 40 boisseaux d’avoine : la production a diminué de près de 95 %.
Naguère, les commanderies d’Hospitaliers d’Aunis et de Saintonge tiraient d’appréciables revenus de la culture de la vigne.
En 1373, les vignes ont disparu aux Epaux, au Deffend, au Treuil-aux-Bœufs, à Fonsèche.
Dans toutes les autres maisons, la récolte du vin est devenue insignifiante.
Elle a décru dans la proportion de 90 % à Bourgneuf (15 tonneaux au lieu de 160)
De 62 % dans les terres du Temple de La Rochelle (45 tonneaux et 1 pipe, au lieu de 120 tonneaux)
De 84 %, à Bernay (4 tonneaux, au lieu de 25 tonneaux)
De 95 %, à Pereault (1 tonneau, au lieu de 20 à 25 tonneaux)
De 72 % à Thairé (5 tonneaux, au lieu de 18).
Il arrive que la production de vin ne couvre que les besoins du personnel de la commanderie.
Parfois — à Séchebouc, par exemple - la culture des vignes se solde par un déficit.

Quant au profit que les maisons des Hospitaliers tiraient des moulins, il est presque réduit à rien.
Les moulins de Viville, d’Auvignac, de Guizengeard, de Civrac, de Fonsèche ont été anéantis.
Les revenus que la commanderie de Chepniers tirait de la mouture du grain ont diminué de 75 % (4 setiers, au lieu de 16 setiers)
Ceux du Deffend sont réduits de 92 % (2 setiers, au lieu de 25)
Ceux de Beauvais-sur-Matha, de 83 % (50 boisseaux, au lieu de 300).
La commanderie de Civrac possédait un moulin à tan : la guerre l’a détruit.

Mais il serait inexact d’attribuer cette décadence aux seules conséquences des hostilités. L’enquête révèle que le déclin de la production des moulins de la commanderie de La Rochelle résulte de l’apparition, aux abords de la ville, de plusieurs moulins à vent, qui ont détrôné les moulins à eau, cependant que les marais salants dont jouissaient la commanderie des Epaux et la maison de Séchebouc ne sont plus que d’un faible rapport.
L’ampleur de la décadence économique ne se mesure réellement qu’au vu du bilan général des commanderies.
Quelques exemples suffisent à l’apprécier. Avant les guerres, la commanderie des Epaux et ses trois « membres »
— les maisons de Villeneuve, de Rétaud et de Beloire — percevaient chaque année 120 livres en argent, 700 boisseaux de grain, 20 tonneaux de vin. Le four produisait un revenu qui, à lui seul, couvrait les dépenses de la commanderie pendant un tiers de l’année. Six moulins étaient en activité. Les marais salants rapportaient annuellement 60 livres.
En 1373, le revenu en argent est de 60 livres (diminution de 50 %).
La production de grain, de 40 boisseaux (diminution de 94 %)
Les vignes sont totalement improductives.
Deux moulins sont détruits, 3 autres ne fonctionnent plus. Le dernier qui soit en état de marche ne rapporte plus que 4 livres par an.
Les marais salants ne donnent que 20 livres (diminution de 66 %).
Le four ne produit plus aucun revenu.
Avec des recettes si terriblement diminuées, la commanderie des Epaux doit pourtant acquitter à l’Ordre un impôt — ou « responsion » — de 80 livres et relever les ruines d’une forteresse détruite par les Anglais.

La commanderie du Dognon est dans une situation comparable que fait ressortir le tableau suivant :
Revenus annuels| Avant les guerres| 1373 |Diminution
— En argent : 25 livres. 7 livres. 72 %
— En grain : 30 setiers. 8 setiers. 73,3 %
— En vin : 10 tonneaux. 1 pipe (1/2 tonneau). 95 %
— En volailles. 30 unités. 8 unités. 73 %
— De moulin : 20 setiers de grain. 4 setiers. 80 %

La commanderie de Bussac n’est pas plus prospère :
Revenus annuels |Avant les guerres| 1373 |Diminution
— En argent : 123 livres. 12 livres. 90,2 %
— En grain : 93 setiers. 10 setiers. 89,2 %
— En vin : 19 tonneaux. 1 pipe (1/2 tonneau) 97,3 %
Cette commanderie a notamment vu disparaître les revenus que lui procuraient ses fours à poterie et à tuiles.

* * *

La concordance affligeante des témoignages s’étendant à toutes les commanderies dans lesquelles les enquêteurs ont pu pénétrer prend valeur générale. Il est clair que les commanderies de l’Hôpital n’ont pas seules, à la fin du XIVe siècle, le triste privilège de la misère et du déclin. En 1373, la crise qui règne en Aunis et en Saintonge s’inscrit dans le panorama plus vaste de ce qu’il est convenu, depuis quelques décennies, d’appeler la crise générale des XIVe et XVe siècles : les historiens la voient naître après la première atteinte de la peste noire et se poursuivre jusque vers 1450. A ce sombre tableau, naguère incontesté, il est aujourd’hui convenable d’apporter des retouches. La crise n’a pas régné partout en même temps, son acuité a été variable, des zones ont été épargnées. Le malheur a voulu que l’Aunis et la Saintonge, proches des bastions anglais de la Guyenne, fussent parmi les régions les plus atteintes, les effets catastrophiques des épidémies s’y trouvent amplifiés par le désordre persistant d’hostilités interminables.
En 1441, frère Philippe de La Boissière, nouveau commandeur du Breuil-du-Pas pouvait encore écrire : « Durant ledit temps icelui pays de Saintonge, excepté les villes et forteresses estoit désert et inhabité, mesmement ladite commanderie qui toute estoit en friche et en ruisne, et y a voit de si fors buissons dedans l’église et à l’entour d’icelle, aussi dans les masures que le dit de la Boissière mit plus de onze jours pour approcher desdits église et masureaux. »
En Aunis et en Saintonge, la crise a duré autant que la guerre.

Appendice 1
Liste des établissements de l’Ordre de l’Hôpital de Saint-Jean-de-Jérusalem dans le diocèse de Saintes.
Du point de vue de l’Ordre de l’Hôpital, le diocèse de Saintes est compris dans le prieuré d’Aquitaine, dont le siège était à Poitiers et qui s’étendait sur le Poitou, la Vendée, l’Aunis, la Saintonge, la Bretagne, l’Anjou, le Maine, la Touraine et la partie méridionale du Berry.
Ce prieuré avait été vraisemblablement fondé au début du XIVe siècle, lors de l’incorporation à l’Ordre de l’Hôpital des biens de l’Ordre du Temple.

Commanderie de BOURGNEUF
Département: Charente-Maritime, Arrondissement: La Rochelle, Canton: La Jarrie - 17
— Maison de Thairé :
Département: Charente-Maritime, Arrondissement: Rochefort, Canton: Aigrefeuille-en-Aunis - 17
— Maison de Péreault :
Département: Charente-Maritime, Arrondissement: La Rochelle, Canton: Marans, Commune: Longèves - 17
— Maison du Treuil-aux-Bœufs :
Département: Charente-Maritime, Arrondissement: La Rochelle, Canton: La Jarrier Commune: Saint-Christophe - 17

Commanderie de SAINT-JEAN-DU-PERROT, à LA ROCHELLE
Département: Charente-Maritime, Arrondissement et Canton: La Rochelle - 17
— Maison de Fonsèche :
Département: Charente-Maritime, Arrondissement: Rochefort, canton et commune: Tonnay-Charente - 17
— Maison de Remigon :
Département: Charente-Maritime, Arrondissement: La Rochelle, canton: La Jarrie, commune: Salles-sur-Mer - 17

Commanderie du TEMPLE DE LA ROCHELLE
Département: Charente-Maritime, Arrondissement et Canton: La Rochelle - 17
— Maison de Bernay :
Département: Charente-Maritime, arrondissement canton et commune Marans - 17
— Maison de La Cabane :
Département: Charente-Maritime, arrondissement Rochefort, canton Surgères, commune Saint-Georges-du-Bois - 17
— Maison de Séchebouc :
Département: Charente-Maritime, arrondissement La Rochelle, canton La Rochelle-est, commune Chatelaillon ou Angoulins - 17
— Maison du Mung :
Département: Charente-Maritime, arrondissement Saintes, canton Saint-Porchaire - 17
— Maison de Goux :
Département: Charente-Maritime, arrondissement Saint-Jean-d’Angély, canton Tonnay-Boutonne, commune Saint-Loup - 17

Commanderie de BEAUVAIS-SUR-MATHA
Département: Charente-Maritime, arrondissement Saint-Jean-d’Angély, canton Matha - 17
— Maison du Fouilloux ;
Département: Charente, arrondissement: Angoulême, canton Saint-Amant-de-Boixe, commune: La Chapelle - 16
— Maison de Boixe :
Département: Charente, arrondissement: Angoulême, canton Saint-Amant-de-Boixe, commune: Maine-de-Boixe - 16
— Maison d’Angoulême :
Département: Charente, Arrondissement et Canton: Angoulême - 16
— Maison de Salierit :
Département: Charente, arrondissement: Angoulême, canton: Aigre, commune: Lupsault - 16
— Maison de Bourcelaine :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saint-Jean-d’Angély, canton: Matha, commune: Beauvais-sur-Matha - 16

Commanderie des EPAUX
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saintes, canton: Gémozac, commune Meursac - 17
— Maison de Villeneuve :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saintes, canton: Saujon, commune: Saint-Romain-de-Benet - 17
— Maison de Rétaud :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saintes, canton: Gémozac - 17
— Maison de Beloire :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saintes, canton: Cozes, commune: Meschers-sur-Gironde - 17

Commanderie du DOGNON
Département: Charente, arrondissement: Angoulême, canton: Blanzac, commune: Cressac - 16

Commanderie de BUSSAC
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Jonzac, canton: Montlieu - 17
— Maison de Lugéras :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Jonzac, canton: Montlieu, commune: Bussac - 17
— Maison de Chepniers :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Jonzac, canton: Montlieu - 17
— Maison de Mélac :
Département: Charente, arrondissement: Cognac, canton: Brossac, commune: Sauvignac - 16
Maison de La Grolle :
Département: Charente, arrondissement: Cognac, canton: Baignes, commune: Touvérac - 16
— Maison de La Grant-Vaul ?
— Maison de Lassac ?

Commanderie du DEFFEND
Département: Charente, arrondissement: Cognac, canton: Baignes, commune: Le Tatre - 16
— Maison de Viville.
Département: Charente, arrondissement: Cognac, canton: Châteauneuf-sur-Charente - 16
— Maison d’Auvignac :
Département: Charente, arrondissement: Cognac, canton: Barbezieux, commune Saint-Hilaire - 16
— Maison de Guizengeard :
Département: Charente, arrondissement Cognac, canton: Brossac - 16
— Maison de La Lande ?

Commanderie de CIVRAC
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Jonzac, canton et commune: Mirambeau (à Pont-Niort) - 17
— Maison de Chierzac :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Janzac, canton: Montlieu, commune: Bussac - 17
— Maison de La Lande de Lorignac :
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Jonzac, canton: Saint-Genis-de-Saintonge, commune: Lorignac - 17

Commanderie du BREUIL-DU-PAS
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saintes, canton et commune: Saujon - 17

Commanderie de CHATEAUBERNARD
Département: Charente, arrondissement et canton: Cognac - 16

Commanderie des EGLISES-D’ARGENTEUIL
Département: Charente-Maritime, arrondissement et canton: Saint-Jean-d’Angély - 16

Commanderie de COURANT
Département: Charente-Maritime, arrondissement: Saint-Jean-d’Angély, canton: Loulay - 17
— Maison du Pont-de-Cesse :
Département: Deux Sèvres, arrondissement: Niort, canton et commune: Frontenay-Rohan-Rohan - 79
Sources : Bulletin de la Société de géographie de Rochefort. Tome XXX. Rochefort-sur-Mer 1908. BNF

Appendice 2
DARAS (Charles)
— Bibliographie sommaire concernant les établissements du Temple et de l’Hôpital dans le diocèse de Saintes.
— Les commanderies et chapelles des Templiers dans la région charentaise dans Mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, tome 52 (1951), pages 31 67.
— Les chapelles des Templiers dans la région charentaise, dans Revue de la Saintonge et de l’Aunis, nouvelle, série, n° 2 (1955). pages 157-150.
— Commanderies et chapelles des Templiers dans la région charentaise, dans Archéologie le 27, mars-avril 1969, pages 42-49.
MESCHINET de RICHEMOND (L.)
— Chartes de la commanderie magistrale du Temple de La Rochelle (1139-1268), dans Archives historiques de la Saintonge et de l’Aunis, tome 1 (1874), pages 21-50.
MUSSET (Georges)
— Les chartes du Temple de La Rochelle (1139-1268), dans Bulletin de la Société des archives historiques de la Saintonge et de l’Aunis, tome 2 (1880), page 378.
RICHEMOND.
— Les chartes de la commanderie du Temple de La Rochelle (1139-1268).
TONNELLIER (Chanoine)
— Chartes inédites concernant les maisons du Temple des Epeaux-de-Meursac et de Saint-Jean-du-Perrot de La Rochelle, dans Mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, année 1961-1962, pages 255-262.
BARRAUD (P.-B.)
— Châteaubernard, dans Bulletin de la Société des archives historiques. Revue de la Saintonge et de L’Aunis, tome 10 (1890), pages 32-38.
MERCIER (Paul)
— La commanderie de Châteaubernard, dans Bulletin de la Société des archives historiques. Revue de la Saintonge et de l’Aunis, tome 10 (1890), pages 320-322.
REDET (Louis)
— Chartes concernant les commanderies de Châteaubernard et d’Angles, près Cognac (1220-1297), dans Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e série, tome 5 (1867), pages 65-78.
GABET (Camille)
— Les seigneuries de Thairé-d’Aunis, dans Actes du 20e congrès des Sociétés savantes Centre-Ouest, Rochefort, 1964, p. 41-53.
— L’exploitation seigneuriale au XVIIIe siècle dans la commanderie de Thairé-d’Aunis. 93e congrès des Sociétés Savantes. Tours, 1968. Section d’histoire moderne, 1971, tome 3, pages 15-22.
BIAIS (Emile)
— Les fresques du Temple près de Blansac (Charente), dans Réunion des Sociétés des beaux-arts des départements, 25e session, Paris, 1901, pages 346-353.
LEGRAND (Abbé)
— La commanderie des Templiers de Saint-Genis-de-Blanzac (Charente) dans Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, tome 53 (1909), pages XCI-XCIII.
GRASILIER (Abbé P.-Th.)
— La commanderie du Breuil-du-Pas ou tableau de la Saintonge pendant la première moitié du XVe siècle (extrait d’une chronique relative à cette commanderie), dans Recueil des actes, archives et mémoires de la commission des arts et monuments historiques de la Charente-inférieure et Société d’archéologie de Saintes, tome III (1077), pages 43-55.

Sources : Bulletin de la Société de géographie de Rochefort. Tome XXX. Rochefort-sur-Mer 1908. BNF

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